La photographe
Sybille Fendt donne à voir des lieux désertés, des lieux visiblement détournés de leur utilisation habituelle afin d'organiser l'accueil d'urgence de populations plus invisibilisées que jamais puisqu'on ne verra personne. Seul le mobilier demeure visible. Cette absence trouble. Plus que des visages ?
Marina Martinez Mateo et
Maria Muhle interroge le « lien ambivalent entre migration et photographie ».
(...)
En donnant à voir des lieux abandonnés,
Sybille Fendt impose le questionnement : les vestiges de leur utilisation invitent à interroger celle-ci. L'analyse de ces oeuvres, proposées par
Marina Martinez Mateo et
Maria Muhle, est le prétexte d'un vaste exposé théorique sur le médium photographique en général. Passionnant !
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