Encore une fois, le duo Fabcaro et
Fabrice Erre utilise une recette qui fonctionne à merveille sur moi.
Par l'écriture cynique et cinglante de Fabcaro et le trait si cartoonesque de Erre.
On a quitté le Far West pour la ville et évidemment, les auteurs en profitent pour changer les rôles. Mais le décalage est encore plus renforcé que dans le premier tome.
Que cela soit par les gags qui marchent bien et les personnages qui me font tourner chaque page, Walter Appleduck est un plaisir.
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