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Critique de OSOLEMIO


Un album avec une couverture très colorée, avec des dessins tout en douceur, la nature, le ciel bleu et lumineux, une promenade en barque avec des chats et Papy Titanic avec sa petite fille Rose !
En effet, Rose n'a pas supporté les disputes incessantes de ses parents et, elle est allée de réfugier tout près chez son grand-père maternel !
Papy est veuf, solitaire, fantasque parfois, il est passionné de maquette, en particulier celle du Titanic et, l'arrivée de Rose va l'obliger à se remettre en question pour la distraire. Rose est accro aux jeux vidéo que Papy déteste et, en cherchant le drapeau de la White Star, ils découvrent que c'est la chatte avec ses 4 chatons qui ont sabordé son bateau et, quand ils sont en retard : Papy va l'amener à l'école avec l'auto de Mamy qu'il n'a jamais conduite puis, il va l'amener promener pour voir un lieu magique " paradis " qu'il avait l'habitude de visiter avec Mamy, et, quand Rose n'arrive pas à dormir car elle n'a pas son doudou, il décide d'aller en pleine nuit le récupérer chez ses parents ! Il participe à la fête de l'école, s'amuse comme un fou avec les autres enfants et il se déguise en tomate à la danse des légumes ! Ils sont très différents l'un de l'autre : ils se chamaillent mais, au bout du compte ils s'aiment beaucoup et sont complices !
L'école est finie et sa maman, vient lui annoncer qu'ils vont en vacances avec son papa pendant 1 mois dans un camping ! Rose partie, Papy s'ennuie, il tourne en rond dans sa maison vide, Rose s'amuse elle a fait des copains mais elle pense beaucoup à son Papy et, quand elle veut lui envoyer un sms : une surprise l'attend car Papy s'est installé dans une tente voisine !!!
Une belle surprise pour moi aussi avec cette B.D proposée par Babelio et les éditions Bamboo que je remercie : celle d'une histoire universelle sur la relation intergénérationnelle entre un grand-père et sa petite-fille, sur la séparation des parents, sur la solitude des personnes âgées et surtout sur la tendresse !
Car, "sans la tendresse, l'amour ne serait rien " : un clin d'oeil à ce cher Bourvil et un autre, de la part de Falzar au capitaine Haddock avec son expression " 1000 millions d'icebergs " pour le Titanic ! ! !
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