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Critique de lalahat
Pour les amateurs de musique classique, voici trois textes originaux, drôles et légers, pour un moment de détente assurée. Ce ravissant petit format 17 x 17 cm est parfait pour se glisser dans un sac, au départ d'un week-end, ou même en vue d'une pause au cours d'une journée de travail.
Paru aux éditions Riveneuve, l'ouvrage est agréable à parcourir, avec les jolies illustrations de Franck Pucques, sur papier de luxe.
Le titre énigmatique renvoie à la chanson Nini Peau d'chien d'Aristide Bruant, 1900. Est-ce pour son évocation de Richard-Lenoir qui passait pour l'homme le plus riche du xixe siècle, mais finit ruiné ?
La première nouvelle revisite le tableau de la Cène en substituant aux douze apôtres douze grands musiciens. Je n'en donnerai pas la liste. Je ne dirai pas non plus lequel d'entre eux incarne Judas, le traître.
La deuxième nouvelle dresse un portrait de Beethoven. Jean-Paul Farré compose là des sortes de variations sur le thème de sa surdité.
La troisième nouvelle s'articule autour d'une rencontre impossible, celle de Schubert et Mozart.
Pas de bémol pour cette lecture, si ce n'est qu'on en redemande !
Paru aux éditions Riveneuve, l'ouvrage est agréable à parcourir, avec les jolies illustrations de Franck Pucques, sur papier de luxe.
Le titre énigmatique renvoie à la chanson Nini Peau d'chien d'Aristide Bruant, 1900. Est-ce pour son évocation de Richard-Lenoir qui passait pour l'homme le plus riche du xixe siècle, mais finit ruiné ?
La première nouvelle revisite le tableau de la Cène en substituant aux douze apôtres douze grands musiciens. Je n'en donnerai pas la liste. Je ne dirai pas non plus lequel d'entre eux incarne Judas, le traître.
La deuxième nouvelle dresse un portrait de Beethoven. Jean-Paul Farré compose là des sortes de variations sur le thème de sa surdité.
La troisième nouvelle s'articule autour d'une rencontre impossible, celle de Schubert et Mozart.
Pas de bémol pour cette lecture, si ce n'est qu'on en redemande !
