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Critique de lavoisine
Les deux textes d'Anne Fausto-Strling sont très intéressants, bien que parfois un poil datés (1993 et 2000). Des pavés dans la marre, nécessaires pour commencer à repenser nos impensés.
Par contre la préface de la psychanalyse, on pourrait clairement s'en passer. Ça prend un tiers du livre (31 pages sur 92 totales) pour tenter de faire croire que la "psychologie clinique" est genrée (alors qu'en dehors de la psychanalyse, les théories de psychologie clinique n'opposent pas de distinctions de genre).
Je commence à en avoir ras le bol de cette imposition systématique de la psychanalyse dans les textes féministes et LGBTIQ (oui, le I c'est bien celui de l'intersexuation !). Il n'y a pas UNE traduction/oeuvre en ce moment en France, où vient pas se greffer un·e croyant·e de cette pseudoscience pour rappeler le dogme. FA-TI-GUE.
Quand à la traduction en elle-même, y'a des loupés...
Par contre la préface de la psychanalyse, on pourrait clairement s'en passer. Ça prend un tiers du livre (31 pages sur 92 totales) pour tenter de faire croire que la "psychologie clinique" est genrée (alors qu'en dehors de la psychanalyse, les théories de psychologie clinique n'opposent pas de distinctions de genre).
Je commence à en avoir ras le bol de cette imposition systématique de la psychanalyse dans les textes féministes et LGBTIQ (oui, le I c'est bien celui de l'intersexuation !). Il n'y a pas UNE traduction/oeuvre en ce moment en France, où vient pas se greffer un·e croyant·e de cette pseudoscience pour rappeler le dogme. FA-TI-GUE.
Quand à la traduction en elle-même, y'a des loupés...
