200 pages pour parler de danse, de création, d'identité, d'écologie, de violences policières, d'engagement... c'est court. Surtout si on y ajoute des cases et des planches de danse et un conte philosophique. Tout est survolé, on n'y croit pas, j'ai juste fini ce titre parce que je trouvais le dessin joli. En plus, la danse contemporaine, je n'y comprends rien en vrai, alors en bd c'est chiant.
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