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Critique de mljs
J'ai lu deux fois ce livre. Une première fois en l'empruntant, une deuxième fois parce qu'on m'en demandait un avis. J'avais même oublié que je l'avais lu. C'est dire que ce roman ne m'avait pas marquée…
J'ai trouvé la fable écologique dans l'actualité et bien traité. Et puis, je me suis demandé si cela n'était pas un peu lassant tous ces romans écologiques. du coup, je me suis demandé si le côté fantasy suffisait à rendre le roman agréable à lire. Et là, je dois dire que non.
Nous avons un monde classique : pauvres Vs riches, vies séparées géographiquement. Nous avons un monde où la fantasy et la magie sont très faibles : un triton, un serment, une pierre magique et des Arpenteurs, rêveurs qui peuvent pénétrer le rêve de leur victime et ont parfois un pouvoir en plus. C'est léger… Ah, si, il y a deux mystérieuses Reines dont je ne dirai rien pour ne pas trop divulgacher l'intrigue. Voilà, voilà, voilà…
Pourtant, je ne peux pas dire que j'ai détesté ma lecture, plutôt une indifférence… Beaucoup de personnages finalement peu exploités, des intrigues de cour qui restent à un niveau superficiel, des descriptions vestimentaires et capillaires répétitives et lassantes, des rêves plus ou moins intéressants, une plante narcotique qui prend une grande place au début pour être oubliée, une relation homosexuelle platonique, une place laissée à la femme virile et à l'homme fragile. Bref, un roman qui tente de rentrer dans des sujets de société sans les exploiter.
Pas mal, mais oubliable. D'où cette chronique pour éviter de le relire une troisième fois…
J'ai trouvé la fable écologique dans l'actualité et bien traité. Et puis, je me suis demandé si cela n'était pas un peu lassant tous ces romans écologiques. du coup, je me suis demandé si le côté fantasy suffisait à rendre le roman agréable à lire. Et là, je dois dire que non.
Nous avons un monde classique : pauvres Vs riches, vies séparées géographiquement. Nous avons un monde où la fantasy et la magie sont très faibles : un triton, un serment, une pierre magique et des Arpenteurs, rêveurs qui peuvent pénétrer le rêve de leur victime et ont parfois un pouvoir en plus. C'est léger… Ah, si, il y a deux mystérieuses Reines dont je ne dirai rien pour ne pas trop divulgacher l'intrigue. Voilà, voilà, voilà…
Pourtant, je ne peux pas dire que j'ai détesté ma lecture, plutôt une indifférence… Beaucoup de personnages finalement peu exploités, des intrigues de cour qui restent à un niveau superficiel, des descriptions vestimentaires et capillaires répétitives et lassantes, des rêves plus ou moins intéressants, une plante narcotique qui prend une grande place au début pour être oubliée, une relation homosexuelle platonique, une place laissée à la femme virile et à l'homme fragile. Bref, un roman qui tente de rentrer dans des sujets de société sans les exploiter.
Pas mal, mais oubliable. D'où cette chronique pour éviter de le relire une troisième fois…
