On retrouve la jeune Saria rencontrée dans le précédent tome intitulé Les trois clés toujours sous la plume de
Jean Dufaux pour le scénario, mais, avec le stylet d'un autre dessinateur, également d'origine italienne,
Riccardo Federici, qui remplace
Paolo Serpieri, malade.
L'univers fantastique et surréaliste crée et imaginé par
Jean Dufaux et
Paolo Serpieri est toujours présent et bien vivace grâce à l'l'alternance d'illustrations en noir et blanc et en couleurs. Il prends ainsi une mesure à la fois démesuré et "démentiel" grâce à son atmosphère oppressante, angoissante. Un frisson parcourt l'échine lorsque l'on se plonge dans cette course afin de contrer le mal.
La perspective des scènes intérieures et extérieures est irréelle, et, surtout grandiose. On se croirait vraiment dans les lieux où se déroulent l'action tant ceux-ci sont réalistes, "vrai" et surtout tellement bien dessinées.
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