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Critique de cicou45


C'est au cours de l'une de mes déambulations dans la médiathèque (eh oui, à mon grand regret, j'ai beau être très matérialiste en ce qui concerne les livres, quitte à acheter moins de vêtements, moins de maquillage et de toute autres choses qui me paraissent, à moi, superficielles mais mes livres, non. Ce sont mes trésors...et pourtant, je ne peux tout de même pas les acheter tous car oui, je n'achète quand même pas "Que" des livres. Il faut quand même que je m'habille, que je me nourrisse et je ne peux m'empêcher de faire plaisir à ceux que j'aime donc, tout cela pour vous dire que je suis obligée de faire un choix, d'où mes fréquents tours dans la médiathèque de ma ville).

Bref, excusez-moi pour cette introduction que ne concerne que moi et je suis désolée, amis lecteurs, si je vous ai détournés du sujet qui nous concerne ici, à savoir cet ouvrage de Raymond Federman. Essai, recueil de poèmes ? Un peu des deux en réalité...mais aussi ouvrage qui joue sur la langue (aussi bien le français que l'anglais) car ce dernier est en version bilingue, la page de gauche avec les poèmes en langue anglaise et celle de droite à leur traduction française, mais dans les premières pages, l'auteur s'amuse à mélanger les deux langues et c'est ce qui fait le charme et l'humour de l'auteur / traducteur et bilinguiste comme il se plaît à se définir lui-même !
Un jeu avec les mots, une réflexion sur la vie et le mort (comme tout poète la plupart du temps) mais aussi des souvenirs d'enfance assez attendrissants !

Un ouvrage qui se lit très rapidement et, pour les plus audacieux, qui peut se lire deux fois, voire trois : une première lecture en français, une seconde en anglais uniquement et une troisième en mélangeant les deux langues (comme je l'ai en partie fait). A découvrir !
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