Le premier tome est écrit pour les enfants (c'est Enid, la plus jeune, qui parle). Puis on grandit un peu avec Hortense, on souffre l'adolescence avec Bettina, on vit ses premiers émois avec Geneviève. Et on se questionne pour l'aînée, Charlie, qui tient la baraque comme elle peut, Ces cinq soeurs (eh oui le titre est un gros mensonge) nous émeuvent. C'est comme une série : on a envie de continuer à vivre avec les personnages. Quant au style de
Ferdjoukh, il est parfait.
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