« J’ai pris ma décision d’arrêter après la mort de la sœur de Cathy (sa femme). Je voyais ma femme regarder la télévision, un soir, puis regarder au plafond. Je l’ai sentie isolée. Je lui ai dit que j’allais arrêter, mais comment pouvais-je l’annoncer à la famille Glazer ? Je savais ce que représentait le titre de champion pour eux. J’étais prêt à leur dire que en mars et à ce moment-là, David Gill (manager) m’a dit qu’il arrêtait. C’était un coup dur. Que devais-je faire ? Mais je me suis décidé. C’était le bon choix. Quand je l’ai dit aux Glazer, nous avons commencé à regardé les successeurs potentiels. Nous avons choisi David Moyes. Il avait été régulier à Everton, il avait passé 11 bonnes années là-bas et avait de l’appétit. Personne ne le savait à part les Glazer, David Gill et moi. Quand nous l’avons engagé, la presse était enthousiaste parce qu’un manager britannique débarquait. Malheureusement, ça s’est mal passé pour David. Mais c’était un bon choix. »
Je ne peux pas imaginer qu'on puisse être un leader efficace si on n'a pas de convictions fermes ni une croyance intérieure forte.
la sagesse populaire prétend que l'on apprend davantage de ses défaites que de ses victoires...
... Je passais toujours plus de temps à réfléchir aux matchs perdus qu'aux matchs gagnés.
Je me suis longtemps demandé pourquoi certaines personnes avaient plus de volonté que d'autres...
...Si je devais choisir entre le talent et la volonté, je choisirais la volonté, c'est le carburant le plus puissant.
» Je ne veux pas mépriser ou critiquer les joueurs qui ont joué pour moi pendant mes 26 ans de carrière à United, mais il n’y a eu que quatre joueurs de classe mondiale :Cantona, Giggs, Ronaldo et Scholes. Et sur les quatre, Cristiano était comme l’étoile sur le sapin de Noël. «
Je ne crois pas qu'on puisse acheter la réussite. Je crois qu'il faut la mériter.
quand on croit à quelque chose, on trouve les mots justes.
Si vous maitrisez votre sujet, vous n'avez pas besoin de notes.
La seule façon d'apprécier une finale, c'est de la gagner. On ne se souvient jamais des perdants.
Plus on avance en âge et en expérience, plus on réfléchit à sa façon d'utiliser le temps.