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Critique de FloraRol
Une femme très belle, très douce et d'une extrême gentillesse, « la fée », met au monde un enfant, Gabriel. Elle le chérit plus que tout, mais cet enfant devient un monstre. Son histoire nous est ici contée.
Ce texte court est percutant. Certains passages sont d'une grande violence, emprunts de beaucoup de cruauté et de froideur. Mais l'écriture délicieusement poétique d'Alice Ferney arrive comme par enchantement à alléger ces passages atroces, à tel point qu'ils en deviennent presque faciles à lire.
J'ai beaucoup de mal à savoir si j'ai aimé ou non ce texte. Ayant pourtant laissé décanter ma lecture (avec une critique rédigée 1,5 mois après, c'est le moins qu'on puisse dire), je n'arrive toujours pas à me prononcer clairement… A la réflexion, je dirais que j'ai été emportée par la beauté de l'écriture, par sa poésie, mais j'ai été dérangée par le contenu du texte. Toute cette noirceur, cette souffrance infligée… quel est le but d'écrire tout cela ? Aucun il me semble, si ce n'est l'expérience artistique, littéraire, en elle-même. Et c'est amplement suffisant.
Ce texte court est percutant. Certains passages sont d'une grande violence, emprunts de beaucoup de cruauté et de froideur. Mais l'écriture délicieusement poétique d'Alice Ferney arrive comme par enchantement à alléger ces passages atroces, à tel point qu'ils en deviennent presque faciles à lire.
J'ai beaucoup de mal à savoir si j'ai aimé ou non ce texte. Ayant pourtant laissé décanter ma lecture (avec une critique rédigée 1,5 mois après, c'est le moins qu'on puisse dire), je n'arrive toujours pas à me prononcer clairement… A la réflexion, je dirais que j'ai été emportée par la beauté de l'écriture, par sa poésie, mais j'ai été dérangée par le contenu du texte. Toute cette noirceur, cette souffrance infligée… quel est le but d'écrire tout cela ? Aucun il me semble, si ce n'est l'expérience artistique, littéraire, en elle-même. Et c'est amplement suffisant.
