Comme j'avais hâte d'en finir avec ce roman !
L'impression d'abord, des caractères très petits et des lignes serrées ; ça manque d'air. D'autant que bien des phrases sont très longues, parfois une page.
Et puis, si la trame de l'histoire est simple à comprendre, certains retours dans le temps le sont nettement moins. Je ne suis pas sûre d'avoir tout compris.
J'avais bien aimé « Lae sermon sur la chute de Rome ». Les thèmes abordés sont un peu les mêmes : les choix de vie, la filiation….
J'avoue humblement que
Jérôme Ferrari est un peu trop intello pour moi, pas assez simple dans son écriture, mais bon, il est professeur de philosophie.
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