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Critique de Crossroads


Jenifer chante "ma révolution". Bof.
Larcenet crayonne "les révolutions". Ouaiiiis !!

A y ai, Manu a atteint un tel degré de zenitude que rien ne peut plus désormais perturber sa douce quiétude campagnarde.
Nan, j'déconne.
Le gars se fout toujours la rate au court-bouillon pour le plus grand plaisir d'un lecteur avide de sourires complices, voire franchement moqueurs, si affinités.

Et affinités, il y a.
Depuis 4 tomes, j'dirais, comme ça, à la Dalida.
Ce cinquième ne déroge pas au sentiment diffus de bien-être qui se propage instantanément en redécouvrant cette petite famille touchante et leurs connaissances sortant parfois du cadre.

L'ermite qui lévite, la mère Mortemont au phrasé insondable, le maire Coquelot en rase campagne de réélection, l'éditeur un brin pressuriseur et cette p****n de chatière que Speed s'évertue à ignorer, manquerait plus que Mariette soit enceinte, tiens.
Oups, je crois bien que c'est pas de l'aérophagie, finalement...

Coeur-pur va devoir composer avec tous ces aléas quotidiens et bonheurs à venir.
Et pour un anxieux de son acabit, nul doute que les situations cocasses et drolatiques en diable ne manqueront pas de dérider le chaland venu justement s'abreuver à la source Larssinet, sponsor kouasi officiel de "tiens, n'en vl'à de la bonne humeur, mon p'tit gars !". Bref, tout ce que j'aime...
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