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Critique de LoupAlunettes
Notre regard reste inextricablement attiré par cet énorme iris, couronnant les cheveux de l'héroïne.
Une beauté.
Est-ce là le talent particulier de la princesse Iris?
Ses parents s'interrogent mais ne veulent pas s'inquiéter, pour son avenir, ni par ailleurs aussi pour celui du monde.
En effet, leurs filles jusqu'à présent sans exception ont reçu à la naissance un don particulier, un charme qui les rend unique et qui leur permet d'adoucir, rendre meilleur le monde.
L'une par son chant d'oiseau, l'autre par un lien à la mer, la suivante la nature ou le vent.
Quel va être la contribution d'Iris?
Malgré sa naturelle discrétion, Iris est bel et bien présente grâce à l'illustratrice, elle reprend les coloris de sa fleur sur chaque page, des tons froids bleutés et des étincelles de lumière qui percent doucement les bleus.
Nous devinons évidement la double lecture de ce conte inédit.
Avec la puberté de ses 16 ans qui arrive, Iris va t-elle trouver sa voie, va t-elle conserver la fierté parentale?
Nous devinons que la jeune héroïne ne souhaitera pas être le mouton noir du troupeau, amenant avec elle peut-être des temps moins cléments.
Qu'à cela ne tienne, si son don ne vient pas à elle, Iris ira à ce don caché ou perdu.
Quadrillant le royaume à la quête d'un talent particulier à révéler, Iris n'aura de cesse de se chercher.
Elle ne sera ni princesse des chevaux, ni celle des montages, encore moins celle des abeilles.
L'auteure corse l'affaire avec une menace portée par la reine à l'adolescente, il n'y aura pas de place pour une princesse de rien.
La pression est mise et les jeunes lecteurs seront dans l'expectative d'une fin heureuse.
Evidemment.
La conclusion est fine, philosophique et dans le rien, il y a bien quelque chose qui s'y loge.
Une beauté.
Est-ce là le talent particulier de la princesse Iris?
Ses parents s'interrogent mais ne veulent pas s'inquiéter, pour son avenir, ni par ailleurs aussi pour celui du monde.
En effet, leurs filles jusqu'à présent sans exception ont reçu à la naissance un don particulier, un charme qui les rend unique et qui leur permet d'adoucir, rendre meilleur le monde.
L'une par son chant d'oiseau, l'autre par un lien à la mer, la suivante la nature ou le vent.
Quel va être la contribution d'Iris?
Malgré sa naturelle discrétion, Iris est bel et bien présente grâce à l'illustratrice, elle reprend les coloris de sa fleur sur chaque page, des tons froids bleutés et des étincelles de lumière qui percent doucement les bleus.
Nous devinons évidement la double lecture de ce conte inédit.
Avec la puberté de ses 16 ans qui arrive, Iris va t-elle trouver sa voie, va t-elle conserver la fierté parentale?
Nous devinons que la jeune héroïne ne souhaitera pas être le mouton noir du troupeau, amenant avec elle peut-être des temps moins cléments.
Qu'à cela ne tienne, si son don ne vient pas à elle, Iris ira à ce don caché ou perdu.
Quadrillant le royaume à la quête d'un talent particulier à révéler, Iris n'aura de cesse de se chercher.
Elle ne sera ni princesse des chevaux, ni celle des montages, encore moins celle des abeilles.
L'auteure corse l'affaire avec une menace portée par la reine à l'adolescente, il n'y aura pas de place pour une princesse de rien.
La pression est mise et les jeunes lecteurs seront dans l'expectative d'une fin heureuse.
Evidemment.
La conclusion est fine, philosophique et dans le rien, il y a bien quelque chose qui s'y loge.
