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Critique de forcevertelit
La base d'un bon roman de fantasy, c'est son aspect épique et ici, on est servi ! L'auteur est un véritable conteur né qui déroule une fresque ambitieuse et envoûtante. Un temps lointain, le mythe arthurien avant la naissance de celui-ci, une époque de paix entre les races qui peuplaient notre Terre, cet instant décisif qui a vu l'avènement de la religion au mépris de la magie.
Quatre peuples, quatre artefacts, un meurtre et nous voici lancés dans une aventure-enquête emplie de secrets, de mensonges, de bravoure, de cupidité, de haine et d'amour. Un amour impossible au milieu de peuples qui se craignent et se haïssent. de la magie, beaucoup, des guerres et des batailles sanglantes, des promesses non-tenues et la disparition des peuples enchantés, malgré des sursauts de foi et d'espoir.
Quand ça parle de mythologie arthurienne, je ne peux qu'aimer et j'ai adoré ce mélange des genres entre le roman historique presque et la fantasy, on a envie d'y croire à cette période où les elfes existaient encore, où la magie était possible alors que la religion catholique prenait ses quartiers.
Comme je disais, c'est aussi une histoire d'amour impossible entre la reine des elfes et Pendragon, voué à donner naissance à Arthur, obsédé par la victoire et le pouvoir. N'oublions pas les amitiés, les frères d'arme qui se soutiennent quand les complots d'autres font tomber les conséquences sur leurs têtes, et l'auteur ne fait pas forcément dans le détail : ça meurt souvent, on s'attache à plusieurs personnages qui finissent par nous quitter, c'est la triste réalité d'une guerre. C'est aussi des questions de fierté, d'appartenance, de filiation, chaque peuple est fier, menant forcément au pire, lorsque ce petit groupe est envoyé pour tenter de sauvegarder la paix coûte que coûte.
Je ne sais pas vraiment en parler, c'est d'une telle richesse, d'une telle complexité, une trame qui se noue et se dénoue en entrecroisant de si nombreuses thématiques ! En tout cas, je comprends pourquoi c'est devenu un classique de la fantasy, c'est tout ce qu'on aime et ça se dévore malgré la taille du pavé.
Quatre peuples, quatre artefacts, un meurtre et nous voici lancés dans une aventure-enquête emplie de secrets, de mensonges, de bravoure, de cupidité, de haine et d'amour. Un amour impossible au milieu de peuples qui se craignent et se haïssent. de la magie, beaucoup, des guerres et des batailles sanglantes, des promesses non-tenues et la disparition des peuples enchantés, malgré des sursauts de foi et d'espoir.
Quand ça parle de mythologie arthurienne, je ne peux qu'aimer et j'ai adoré ce mélange des genres entre le roman historique presque et la fantasy, on a envie d'y croire à cette période où les elfes existaient encore, où la magie était possible alors que la religion catholique prenait ses quartiers.
Comme je disais, c'est aussi une histoire d'amour impossible entre la reine des elfes et Pendragon, voué à donner naissance à Arthur, obsédé par la victoire et le pouvoir. N'oublions pas les amitiés, les frères d'arme qui se soutiennent quand les complots d'autres font tomber les conséquences sur leurs têtes, et l'auteur ne fait pas forcément dans le détail : ça meurt souvent, on s'attache à plusieurs personnages qui finissent par nous quitter, c'est la triste réalité d'une guerre. C'est aussi des questions de fierté, d'appartenance, de filiation, chaque peuple est fier, menant forcément au pire, lorsque ce petit groupe est envoyé pour tenter de sauvegarder la paix coûte que coûte.
Je ne sais pas vraiment en parler, c'est d'une telle richesse, d'une telle complexité, une trame qui se noue et se dénoue en entrecroisant de si nombreuses thématiques ! En tout cas, je comprends pourquoi c'est devenu un classique de la fantasy, c'est tout ce qu'on aime et ça se dévore malgré la taille du pavé.
