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Critique de BurjBabil
On peut résumer ce volume par la phrase :
"Je fais ce qui doit être fait"
C'est beau, presque philosophique, cette phrase est prononcée deux fois de suite, autour d'un trou de ver (ou presque) comme une symétrie.
Bon , on ne sait pas trop ce qui doit être fait et les conséquences mais c'est secondaire.
Scénario toujours dans la même veine : deux équipes se séparent (comme dans Alien, on se sépare petit à petit pour être sûr de se faire choper seul).
Cela permet une alternance de plans : team one, team 2 (Ah oui j'oubliais, beaucoup de termes angliches pour faire branchouille, euh... trendy)...
Des nouveaux personnages, le jeune vieux frère de l'Alien, paradoxe temporel oblige, et...
page 48...
Les droïdes de combat B1 de Star Wars !
Que la force soit avec ceux qui poursuivent l'aventure !
"Je fais ce qui doit être fait"
C'est beau, presque philosophique, cette phrase est prononcée deux fois de suite, autour d'un trou de ver (ou presque) comme une symétrie.
Bon , on ne sait pas trop ce qui doit être fait et les conséquences mais c'est secondaire.
Scénario toujours dans la même veine : deux équipes se séparent (comme dans Alien, on se sépare petit à petit pour être sûr de se faire choper seul).
Cela permet une alternance de plans : team one, team 2 (Ah oui j'oubliais, beaucoup de termes angliches pour faire branchouille, euh... trendy)...
Des nouveaux personnages, le jeune vieux frère de l'Alien, paradoxe temporel oblige, et...
page 48...
Les droïdes de combat B1 de Star Wars !
Que la force soit avec ceux qui poursuivent l'aventure !
