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Critique de sandraboop
Un(des) sujet(s) difficiles sont ici traités. Tout en retenue. On rentre rarement dans le descriptif et les rares fois ce ne sont pas les scènes les plus insupportables pour le lecteur bien qu'elles aient une autre résonance pour l'auteure.
Beaucoup de pudeur pour dénoncer des atrocités.
Une quête: ne plus permettre que ça se produise pour les autres car pour soi c'est déjà trop tard.
Des mots sur des maux.
Une lecture utile pour ceux qui ne comprennent pas certaines douleurs, certaines maladies car non visible par l'oeil uniquement par l'empathie.
Intéressante lecture même si je l'ai trouvée inégale.
La thématique était pour moi la raison de ma lecture. Un écho.
Je regrette juste 2 points : nous ne saurons pas si la victime a confronté ses bourreaux dans une salle d'audience. Pas plus que de chapitre sur la différence de traitement entre victime et coupable.
En effet souvent la victime doit se débrouiller seule avec ses traumas (à ses frais, à elle de faire la démarche) quand les coupables reconnus par la justice bénéficient d'une prise en charge du traitement thérapeutique.
Et ça ce n'est qu'un exemple.
Lecture utile mais inégale et qui aurait pu aller plus loin dans la réflexion. Mais comment condamner l'auteure qui a le mérite de s'exprimer sur ses souffrances dans un but louable : le "plus jamais ça ".
Beaucoup de pudeur pour dénoncer des atrocités.
Une quête: ne plus permettre que ça se produise pour les autres car pour soi c'est déjà trop tard.
Des mots sur des maux.
Une lecture utile pour ceux qui ne comprennent pas certaines douleurs, certaines maladies car non visible par l'oeil uniquement par l'empathie.
Intéressante lecture même si je l'ai trouvée inégale.
La thématique était pour moi la raison de ma lecture. Un écho.
Je regrette juste 2 points : nous ne saurons pas si la victime a confronté ses bourreaux dans une salle d'audience. Pas plus que de chapitre sur la différence de traitement entre victime et coupable.
En effet souvent la victime doit se débrouiller seule avec ses traumas (à ses frais, à elle de faire la démarche) quand les coupables reconnus par la justice bénéficient d'une prise en charge du traitement thérapeutique.
Et ça ce n'est qu'un exemple.
Lecture utile mais inégale et qui aurait pu aller plus loin dans la réflexion. Mais comment condamner l'auteure qui a le mérite de s'exprimer sur ses souffrances dans un but louable : le "plus jamais ça ".
