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Critique de latina
Evidemment, après « Sa préférée », un livre qui m'a perturbée profondément, j'avais envie d'un petit quelque chose de doux, de sucré, de délicat, et qui me fasse rire.
J'ai eu raison de lire « Nous irons tous au paradis », déjà le titre me semblait bien optimiste !
Je ne vais pas dire qu'il s'agit d'un livre profond, mais c'est le genre d'histoire feel good, que normalement j'exècre, truffée d'allusions rigolotes qui détend et fait réfléchir (un peu).
Elner Shimfissle est une vieille dame on ne peut pas dire respectable, car elle aime ruer dans les brancards et faire trembler sa nièce Norma par son manque de prudence. C'est d'ailleurs cela qui l'a amenée en urgence à l'hôpital un beau matin, car elle est tombée du figuier, attaquée par un essaim de guêpes, qui plus est affublée de son horrible peignoir marron. Arrivée à l'hôpital, elle est déclarée morte.
S'ensuit une série de papotages dignes d'une série américaine (c'est ce qui ne m'a pas plu du tout dans ce roman et pourquoi je ne lui octroie que 3,5 étoiles) de la part de ses amis et amies, et elle en a des tonnes, car c'est une personne généreuse et profondément gentille.
Mais si on fait abstraction de cela, les actes vraisemblables ou invraisemblables qui découlent de sa mort et l'ambiance générée par cette annonce sont innombrables et cocasses.
Voilà, je ne recommande pas ce livre à ceux qui veulent approfondir la question existentielle de la mort, mais à tous ceux qui veulent faire une pause entre des lectures difficiles et qui se contenteront d'une vérité : « Nous irons tous au paradis ».
J'ai eu raison de lire « Nous irons tous au paradis », déjà le titre me semblait bien optimiste !
Je ne vais pas dire qu'il s'agit d'un livre profond, mais c'est le genre d'histoire feel good, que normalement j'exècre, truffée d'allusions rigolotes qui détend et fait réfléchir (un peu).
Elner Shimfissle est une vieille dame on ne peut pas dire respectable, car elle aime ruer dans les brancards et faire trembler sa nièce Norma par son manque de prudence. C'est d'ailleurs cela qui l'a amenée en urgence à l'hôpital un beau matin, car elle est tombée du figuier, attaquée par un essaim de guêpes, qui plus est affublée de son horrible peignoir marron. Arrivée à l'hôpital, elle est déclarée morte.
S'ensuit une série de papotages dignes d'une série américaine (c'est ce qui ne m'a pas plu du tout dans ce roman et pourquoi je ne lui octroie que 3,5 étoiles) de la part de ses amis et amies, et elle en a des tonnes, car c'est une personne généreuse et profondément gentille.
Mais si on fait abstraction de cela, les actes vraisemblables ou invraisemblables qui découlent de sa mort et l'ambiance générée par cette annonce sont innombrables et cocasses.
Voilà, je ne recommande pas ce livre à ceux qui veulent approfondir la question existentielle de la mort, mais à tous ceux qui veulent faire une pause entre des lectures difficiles et qui se contenteront d'une vérité : « Nous irons tous au paradis ».
