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Critique de levri
Nous retrouvons Will et "Evanlyn" aux mains des skandiens sur un drakkar aux prises avec les éléments, pendant ce temps Halt ronge son frein, empêché par le roi de partir au secours de son apprenti, la priorité étant de retrouver le dernier lieutenant de Morgarath en liberté.
Cependant Halt monte un stratagème risqué afin que le roi le libère de ses obligations pour qu'il puisse enfin partir à la recherche de Will. En cours de route Horace, l'apprenti Guerrier doué, le rejoint et tout deux embarquent pour le continent pour un périple semé d'incidents chevaleresques à travers la Gallica et le pays Teuton avant d'atteindre la Skandie où ils espèrent libérer de l'esclavage les deux prisonniers …
L'action est moins soutenue et le côté "jeunesse" est bien plus apparent, nous retrouvons will, esclave drogué à l'opium et transformé en zombie (cet opium doit être mutant vus les effets de "l'herbe"), Horace multiplie les joutes de chevaliers sans grand réalisme, Halt intrigue et la princesse est de plus en plus présente, alors que le côté cohérent ou vraisemblable est laissé de côté. Les Skandriens, malgré leur côté "brutes épaisses" montrent une certaine sensibilité alors que les secours baignent dans une atmosphère médiévale.
L'écriture garde la même fluidité, cependant le côté "jeunesse" est privilégié au détriment de la recherche d'un peu de réalité et de cohérence. Une série qui semble s'essouffler et perdre de l'intérêt …
Cependant Halt monte un stratagème risqué afin que le roi le libère de ses obligations pour qu'il puisse enfin partir à la recherche de Will. En cours de route Horace, l'apprenti Guerrier doué, le rejoint et tout deux embarquent pour le continent pour un périple semé d'incidents chevaleresques à travers la Gallica et le pays Teuton avant d'atteindre la Skandie où ils espèrent libérer de l'esclavage les deux prisonniers …
L'action est moins soutenue et le côté "jeunesse" est bien plus apparent, nous retrouvons will, esclave drogué à l'opium et transformé en zombie (cet opium doit être mutant vus les effets de "l'herbe"), Horace multiplie les joutes de chevaliers sans grand réalisme, Halt intrigue et la princesse est de plus en plus présente, alors que le côté cohérent ou vraisemblable est laissé de côté. Les Skandriens, malgré leur côté "brutes épaisses" montrent une certaine sensibilité alors que les secours baignent dans une atmosphère médiévale.
L'écriture garde la même fluidité, cependant le côté "jeunesse" est privilégié au détriment de la recherche d'un peu de réalité et de cohérence. Une série qui semble s'essouffler et perdre de l'intérêt …
