Roman abordé avec réticence car "la délicatesse" du même auteur, ne m'avait pas emballée et j'en avais conclu : écrivain à éviter, pour ce qui me concerne.
Club de lecture oblige : je me lance donc à nouveau "Vers la beauté" et une fois de plus, je peine à suivre la parcours insensé et énigmatique de ce gardien de musée, ex professeur d'histoire de l'art. Cependant, je m'accroche consciencieusement à l'histoire pour fonder ma critique et je commence à prendre de l'intérêt au dernier tiers du livre qui, en évoquant un double drame, éclaire les comportements erratiques du professeur Antoine Duris. Du même coup s'explique le parallèle avec Jeanne Hébuterne, muse sacrifiée de Modigliani, évoquée au début du récit puis oubliée en route
Malgré les maladresses de l'auteur pour aborder cette histoire j'ai été vraiment touchée par le sort tragique de Camille.
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