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Critique de Mamy_Poppins
J'ai mal dormi cette nuit.
Pourquoi ?
Parce que j'ai fini hier soir le dernier roman de Ken Follett, "Never" (paru en français sous le titre "Pour rien au monde").
Follett fait partie de ces auteurs dont j'achète les nouveautés sans même lire la 4eme de couverture.
Ce qui fait que j'ignorais totalement de quoi il parlait quand je l'ai commencé, il y a quelques jours.
"Never" est un thriller géo-politique qui démonte avec brio le mécanisme implacable qui pourrait mener le monde à sa perte dans un conflit nucléaire global.
Follett explore avec verve et minutie la façon dont de simples incidents isolés, assortis de l'arrogance et de la mégalomanie de certains dirigeants, seraient susceptibles d'amener une escalade mortifère jusqu'au point de non-retour.
Par le biais des jeux d'alliances et des intérêts économiques, politiques et nationalistes, beaucoup de nations se retrouveraient quasi "obligées" de participer à cette escalade.
Souvent pour ne simplement pas perdre la face.
Follett est un humaniste.
Il a parsemé le récit de touches de beauté, d'amour et d'espoir.
Malgré l'exactitude de ses analyses, il ne veut pas que cela arrive. Il a conçu son roman comme un avertissement pédagogique, un peu comme les contes de fées destinés aux enfants, pour les alerter des dangers.
La preuve en est du titre, éloquent dans n'importe quelle langue, et de l'illustration de couverture.
Après avoir cauchemardé de la fin du roman une bonne partie de la nuit, l'actualité de ce matin (Russie qui attaque l'Ukraine) me laisse un goût amer.
J'ai du mal à me persuader que les humanistes de ce monde parviendront un jour à contrer la folie des assoiffés de pouvoir.
Pourquoi ?
Parce que j'ai fini hier soir le dernier roman de Ken Follett, "Never" (paru en français sous le titre "Pour rien au monde").
Follett fait partie de ces auteurs dont j'achète les nouveautés sans même lire la 4eme de couverture.
Ce qui fait que j'ignorais totalement de quoi il parlait quand je l'ai commencé, il y a quelques jours.
"Never" est un thriller géo-politique qui démonte avec brio le mécanisme implacable qui pourrait mener le monde à sa perte dans un conflit nucléaire global.
Follett explore avec verve et minutie la façon dont de simples incidents isolés, assortis de l'arrogance et de la mégalomanie de certains dirigeants, seraient susceptibles d'amener une escalade mortifère jusqu'au point de non-retour.
Par le biais des jeux d'alliances et des intérêts économiques, politiques et nationalistes, beaucoup de nations se retrouveraient quasi "obligées" de participer à cette escalade.
Souvent pour ne simplement pas perdre la face.
Follett est un humaniste.
Il a parsemé le récit de touches de beauté, d'amour et d'espoir.
Malgré l'exactitude de ses analyses, il ne veut pas que cela arrive. Il a conçu son roman comme un avertissement pédagogique, un peu comme les contes de fées destinés aux enfants, pour les alerter des dangers.
La preuve en est du titre, éloquent dans n'importe quelle langue, et de l'illustration de couverture.
Après avoir cauchemardé de la fin du roman une bonne partie de la nuit, l'actualité de ce matin (Russie qui attaque l'Ukraine) me laisse un goût amer.
J'ai du mal à me persuader que les humanistes de ce monde parviendront un jour à contrer la folie des assoiffés de pouvoir.
