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Critique de Grandhuit


Les souffrance d'un jeune indien Objiwé

D'après une histoire vraie.L'histoire se déroule a Sainte Cécilia,dans un pensionnat canadien ou un jeune indien"Mukwa" onze ans est séparé de sa famille et est envoyé au pensionnat comme tous les jeunes indiens.Dès son arrivée,le jeune Objiwé est confronté aux malheurs du pensionnat :humiliation,maltraitance,privation de nourriture et plus encore.Tout cela pour oublier leurs origines,leur religions et leur culture d'où le nom du titre "Kill the Indian in the child"éliminer l'indien dans l'enfant.Malgré ses douleurs,Mukwa va de l'avant et décide de s'enfuir pour être libre er rejoindre son père.
L'auteur de ce livre,Elise Fontenaille,née le 16 aoûte 1960 à Nancy,est une auteur française de romans de littérature générale et pour la jeunesse,ainsi que de science-fiction."Kill the Indian in the child",est un récit qui mêle ouvertement la science-fiction et la vraie vie d'un indien où le personnage raconte sa vie.
Ce livre ma beaucoup touchée,tout ce que le jeune indien a dû endurer,j'ai vraiment du mâle à croire que cela soit vrai.ce que l'on pouvait négliger pour ma part,c'est la partie science-fiction.J'aurais préféré que l'écrivaine s'arrête à une vraie histoire et non,qu,elle invente une suite où le jeune indien devient un corbeau (qui est le symbole de la liberté) enfin libre et qui prêt à déployer ses ailes,même si le livre est l'un des meilleures que j,ai lus.
Je recommanderais à tout lecteur de lire ce beau témoignages et surtout pour ceux qui apprécient les histoires vraies et touchantes.
Sedef

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Des enfances détruites, gâchées

Mukwa est un jeune Ojibwé, forcé d'abandonner sa famille pour être rééduqué dans une école catholique très redoutée du peuple autochtone : Sainte-Cécilia. Là-bas, il sera humilié, maltraité et torturé afin d'éliminer l'indien qui vit en lui. Cependant, le comportement inadmissible des nonnes et prêtres qui s'occupent, d'une manière épouvantable, des enfants entraîneront la désobéissance et la fugue de Mukwa. Réussira-t-il à s'enfuir ? Que va-t-il lui arriver ?

Premièrement, dans le roman Kill the Indian in the child, tous les éléments, toutes les actions, toutes les pensées des différents personnages ont été parfaitement choisis et réunis afin d'émouvoir les lecteurs. Effectivement, la malheureuse histoire de Mukwa est pire qu'injuste. Il n'a jamais rien fait, jamais transgressé la loi, jamais éveillé le regard de ces religieux "puissants", et pourtant le sort s'acharne sur lui. J'ai adoré et admiré la persévérance, ainsi que la volonté courageuse dont il faisait preuve, à rejoindre sa famille et quitter cet établissement affreux. En revanche, j'ai détesté l'évolution de la personnalité de son ami Ahmik et bien évidemment les souffrances administrées à ces jeunes innocents. De plus, l'histoire repose sur des faits véridiques au Canada. Enfin, Elise Fontenaille a réussit dans un simple et court roman à établir une prise de conscience, à dénoncer les crimes de l'époque et à lutter contre le racisme grâce à son statut de romancière.

Lise

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Kill the indian in the child : le reflet de la réalité

Kill the indian in the child est tiré de l’histoire vraie de Chanie qui est un jeune enfant Ojibwé. Dans le récit, le personnage inspiré de Chanie s’appelle Mukwa, il a onze ans et est envoyé, comme tout les enfants indien, au pensionnat Sainte-Cécilia, où l’éducation est remise à des prêtres et des religeuses. Malheureusement, dès son arrivée, Mukwa est confronté aux dures lois du pensionnat : privation de nourriture, maltraitance… pour tuer l’indien qui est en lui (d’où le titre du livre « Kill the indian in the child » soit  « tuer l’indien dans l’enfant » : écrit sur l’un des murs du pensionnat).Malgré tout ça, le jeune garçon réussi a se faire un ami et à s’enfuir du pensionnat pour retrouver sa famille qui lui manque tant.

Tout d’abord, le fait que se roman parle d’un fait réel m’émeut encore plus que tout autre roman. Le message que l’auteur à réussi a faire passé a travers son livre est poignant : elle a réussi a dénoncer les drames qui se passaient dans ces pensionnats, a lutter contre le racisme… Ce roman est très court, mais n’enlève en rien l’émotion qu’il transmet. J’ai remarqué les efforts de Mukwa tout au long de l’histoire, et je pense que ça doit être un exemple que tout le monde devrait pouvoir suivre.

Mathilde
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Une histoire vraie et bouleversante.

Ce livre parle essentiellement d’un enfant indien nommé Mukwa qui va être obligé comme beaucoup d’autres d’Indiens de son âge à aller dans un pensionnat canadien dirigé par des religieux. Après la liberté qu’il a connu avec son père trappeur au début de sa vie, ce pensionnat va lui paraitre être l’enfer. Il va y connaitre l’humiliation, la torture physique et mentale, le viol, la privation de nourriture et bien d’autres atrocités encore. Seulement, après plus de trois mois passés en enfer, Mukwa et son meilleur ami que les religieux ont nommé « numéro 16 » décident de s’enfuir pour retrouver leur village natal et leur familles. Malheureusement, le voyage retour ne se passe pas exactement comme prévu …

Je trouve que ce livre frappant de réalité est une bonne leçon de vie et d’humanisme pour tout le monde. Il nous rappelle encore une fois que l’Homme « avec un grand H » est à la fois exécuté et exécuteur. J’ai beaucoup apprécié ce livre car même s’il est très noir et très triste, on retrouve une touche d’espoir vers la fin du roman. On nous y montre que tout n’est pas perdu et qu’il est encore temps d’agir même si beaucoup de personnes ont souffert et parfois même en sont mort. J’ai aussi trouvé que l’auteur a su parfaitement retransmettre les émotions de toutes ces personnes qui ont été traumatisées par leur passé. Sinon, j’apprécie beaucoup le style d’écriture d’Elise Fontenaille par son ajout de passé simple à certains endroits qui me donne l’impression de lire une autobiographie et qui accentue le réalisme de l’histoire. J’ai aussi aimé le fait que comme pour ses livres, E. Fontenaille a su garder l‘essentiel de l’histoire sans la déformer ou l’exagérer tout en gardant le réalisme ce qui nous permet d’obtenir un roman très court d’environ 90 pages seulement.

Romain

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Une rééducation ou la mort assurée ?

Mukwa un jeune indien de 11 ans va connaître une très mauvaise expérience dans le centre de « rééducation » de Sainte Cécilia. Il va faire face à de nombreuses mauvaises expériences qui le traumatiseront. Le jeune Ojibwé va tout faire pour trouver un moyen de s’enfuir de « cette prison » comme l’appelle Mukwa et pour rejoindre son père qui vit dans la forêt grâce à son activité de trappeur.
Elise FONTENAILLE est né le 16 août 1960 à Nancy. Elle est une écrivaine française de romans de littérature générale et pour la jeunesse. Elle a aussi écrit des romans de science-fiction. Elle a d’abord travaillé en tant que journaliste à Paris et en tant qu’attachée de presse à Vancouver au Canada au consul de France avant de se lancer dans la littérature.
L’histoire du jeune Ojibwé est pleine d’émotion. On découvre une face cachée de la « cohabitation » des Indiens et des Canadiens. Nous éprouvons de la peine pour les enfants du pensionnat qui reçoivent d’imposantes punissions. J’ai globalement aimé ce livre car il y a une histoire réelle et prenante qui m’a amené rapidement à la fin du livre. Le meilleur passage, selon moi, est celui de l’évasion car c’était un moment tendu en sachant que son compagnon avait déjà tenté de s’enfuir mais il avait échoué à plusieurs reprises et s’était fait violemment punir. Cependant, je n’ai pas bien compris certains passages du livre comme la fin quand l’enfant mourut et qu’il se transforma en corbeau.

Hakim
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Une histoire vraie qui vous laissera sans voix.

Ce roman raconte l’histoire d’un jeune indien, nommé Mukwa âgé de onze ans qui va être envoyé dans un pensionnat canadien dont l’éducation est confiée à des religieux qui est la Saint-Cécilia. Mais le jeune indien va découvrir et subir l’humiliation, les mauvais traitements, la privation de nourriture. Mais il va décider de fuir ce pensionnat pour retrouver son père qui est un trappeur.
Tout d’abord, j’ai beaucoup apprécié ce livre. J’ai trouvé intéressant qu’il s’agisse d’une histoire inspirée de faits réels, car parfois on peut penser que c’est exagéré par l’auteur mais de savoir que ce n’est pas de la fiction cela nous permet de mieux nous projeter dans la réalité. D’autre part, j’ai trouvé ce livre horrible car les violences infligées aux indiens étaient insupportables. La maltraitance, l’humiliation, la privation de nourriture, la violence physique envers les indiens, ils ne le méritent pas, ils ont rien demandé et doivent subir toutes ces violences. C’est à ce moment que je me rends compte à quel point certaines personnes peuvent être cruelles envers une population différente car ils ne sont pas comme eux. Et j’ai vraiment eu de la peine pour ces pauvres indiens. Sur le plan émotionnel ce livre m’a beaucoup touché car ça parle de la colonisation et de l’assimilation des indiens au Canada. Je ne trouve pas normal qu’on oblige les peuples colonisés à oublier leur culture et leur identité et à adopter celle de leur colonisateur. Mais aussi pour l’extrait de Mukwa où il arrive à s’échapper de l’internat et qu’à la fin [ il meurt de froid dans la neige. Celui-ci devient donc un corbeau, il se rend compte qu’il est mort et qu’il s’imagine même son père à côté de lui en corbeau]. J’aime beaucoup ce livre car il nous fait prendre conscience de ce qui s’est réellement passé à cette époque et ce qui nous fait apprendre d’avantage. C’est un livre que je conseille vraiment, car d’une part il s’agit d’histoire vraie, et d’autre part il nous fait prendre conscience de beaucoup de choses, notamment sur les crimes raciaux et qu’on a beaucoup de chance de vivre dans un pays libre.

Nazli
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Élise Fontenaille, née le 16 août 1960 à Nancy, est une auteure française de romans de littérature générale et pour la jeunesse, ainsi que de science-fiction, J'ai eu la chance de la rencontrer, c'est une personne vraiment géniale, elle vit de sa passion.
Mukwa est un jeune indien de 11 ans, comme ceux de son âge, il a été envoyé à  Sainte-Cécilia, un pensionnat canadien dont l'éducation est confiée à des religieux. Malheureusement, cet établissement ne ressemble en rien à une école traditionnelle. Pour tout apprentissage, le jeune Ojibwé devra faire face à l'humiliation, la privation de nourriture, les mauvais traitements... Car le mot d'ordre est « Kill the Indian in the child » : « éliminer l'Indien dans l'enfant », c'est-à-dire lui faire oublier sa culture, sa religion, ses origines. Mais Mukwa se rebelle, décide de fuir et de rejoindre son père trappeur, dans la forêt, malheureusement tout ne se passa pas comme prévu.
Kill the indian in the Indian, est un livre qui ne me plaisait pas au départ, ce n'est pas le genre de livre qui est dans ma bibliothèque. Mais je l'ai lu d'une traite et honnêtement je l'ai trouvé super bien. J'ai découvert des choses que je ne savais pas, mais le fait que cette histoire soit basée sur des faits réels m'a d'autant plus touchée.

Solenne
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Kill the Indian in the Child nous raconte la vie de Mukwa, jeune Objiwé, envoyé dans un pensionnat canadien du nom de Sainte-Cécilia. A partir de ce moment là, sa vie deviendra un enfer car la seule chose qui compte, c'est de "tuer l'indien dans l'enfant". Mukwa ne voudra pas se laisser faire et cherchera à s'enfuir de cette "prison".
Je n'ai pas vraiment aimé ce livre. Je n'ai pas trouvé les personnages attachants, et la façon plutôt "simple" dont l'histoire est racontée m'a un peu ennuyé. J'ai aussi trouvé que tout se passait très vite. Le sujet abordé est tout de même très important et bouleversant, surtout quand on sait que ça n'a pas été inventé. Au final, ce livre m'en a tout de même appris sur la situations des peuples indiens au Canada, mais je ne sais pas si je recommanderai ce livre à d'autres.

Lisa
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