Exposer l'état d'avancement d'une réflexion est essentiel pour Ivan, d'où l'importance que revêt l'enseignement, il enseigne pour penser. (Thierry Paquot)
Les bibliographies constituent en elles-mêmes une information sur les informations dont dispose un auteur et nous renseignent sur son état d’esprit, sa démarche et ses obsessions… (Thierry Paquot)
Ivan Illich (1926-2002), on l'a dit et répété, est inclassable, c'est là une première manière de l'approcher.
Martin Fortier et Thierry Paquot, Avant-propos, p. 6
Un professeur cesse de mettre à l'épreuve son tact, sa patience et son ouverture à autrui lorsqu'il intègre une machine éducative dont la logistique implique de regrouper systématiquement 35 à 36 élèves-clients pour les occuper à posséder des "compétences" employables par le monde de l'entreprise, qui est la forme immédiatement supérieur d'organisation centralisée englobant l'école comme sa sous-classe. (Renaud Garcia)
La disvaleur est l'ombre négative de la valeur. C'est la paralysie de capacités autonomes rendant les gens dépendant de marchandises et de services hétéronomes, c'est-à-dire produits par des instances extérieures, autres, lointaines et souvent anonymes. (Jean Robert)
Dans tous les sens, la modernité est intéressante, mais il n'y a pas de modernité innocente. (Jean Robert)
Toute l'époque moderne es une guerre contre la subsistance. (Jean Robert)
La mémoire humaine filtre, publie, transforme… (Thierry Paquot)
Plus simplement, ma question serait plutôt celle-ci : Comment un intellectuel, en l’occurence Ivan Illich, « se met en penser », non pas « à », mais « en »? (Thierry Paquot)
« Pensée Ivan Illich », sous-entendue quelle est la pensée d’Ivan Illich, ou bien comment pensait Ivan Illich ou encore « Penser Ivan Illuch » c’est-à dire quand on pense, pense-t-on Ivan Illich, à partir de sa pensée pensante, comme lui? Et pourquoi pas « que pensons-nous de la pensée d’Ivan Illich? » ou encore « pense-t-on le Ivan Illich »? (Thierry Paquot)