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Critique de Sourisetdeslivres
Augusta est ankylosée dans son couple. Son emploi à l'ancienne prison de Salem, ne lui plait plus vraiment.
Un jour, elle lit une annonce.
Harlowe House à Tynemouth cherche un gestionnaire des collections.
Un travail taillé sur mesure pour elle.
19e.
On suit Margaret.
Elle se sent seule même au sein de sa famille.
L'inégalité de traitement entre hommes et femmes la met en colère.
Son refuge, les bois.
Là où il n'y a pas de convention sociale.
Là où elle peut ramasser les plantes dont elle a besoin pour aider ses consoeurs.
Une magie qui n'est pas sans prix…
Des recherches qu'Augusta va effectuer pour une exposition vont la mener à Margaret.
L'ambiance est oppressante, presque dérangeante.
Étrange.
Les interrogations s'accumulent au fur et à mesure des pages.
L'ombre du passé plane sur le présent.
La belle muse du tableau au musée ne possède-t-elle pas une face beaucoup plus sombre ?
Ce roman parle aussi de la mémoire généalogique.
Est-ce que le malheur et la tristesse peuvent se transmettre de génération en génération ?
De femmes à femmes ?
Oublie toute logique et laisse-toi porter par le destin de ces deux femmes.
2 personnalités très différentes à plus d'un siècle de distance.
Il y a de la souffrance, de la tolérance, un joli rapport à la nature.
Une belle lecture parfaite pour cet hiver ou cet automne.
Un roman sombre et gothique qui livre de beaux messages aux femmes.
Mon seul reproche : une fin un peu trop rapide par rapport au reste du récit.
Ce roman c'est : 2 femmes. Une histoire de sorcellerie. Un pouvoir féminin profondément enraciné qui résonne à travers les siècles.
Lien : https://unesourisetdeslivres..
Un jour, elle lit une annonce.
Harlowe House à Tynemouth cherche un gestionnaire des collections.
Un travail taillé sur mesure pour elle.
19e.
On suit Margaret.
Elle se sent seule même au sein de sa famille.
L'inégalité de traitement entre hommes et femmes la met en colère.
Son refuge, les bois.
Là où il n'y a pas de convention sociale.
Là où elle peut ramasser les plantes dont elle a besoin pour aider ses consoeurs.
Une magie qui n'est pas sans prix…
Des recherches qu'Augusta va effectuer pour une exposition vont la mener à Margaret.
L'ambiance est oppressante, presque dérangeante.
Étrange.
Les interrogations s'accumulent au fur et à mesure des pages.
L'ombre du passé plane sur le présent.
La belle muse du tableau au musée ne possède-t-elle pas une face beaucoup plus sombre ?
Ce roman parle aussi de la mémoire généalogique.
Est-ce que le malheur et la tristesse peuvent se transmettre de génération en génération ?
De femmes à femmes ?
Oublie toute logique et laisse-toi porter par le destin de ces deux femmes.
2 personnalités très différentes à plus d'un siècle de distance.
Il y a de la souffrance, de la tolérance, un joli rapport à la nature.
Une belle lecture parfaite pour cet hiver ou cet automne.
Un roman sombre et gothique qui livre de beaux messages aux femmes.
Mon seul reproche : une fin un peu trop rapide par rapport au reste du récit.
Ce roman c'est : 2 femmes. Une histoire de sorcellerie. Un pouvoir féminin profondément enraciné qui résonne à travers les siècles.
Lien : https://unesourisetdeslivres..
