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Critique de umezzu


A la fin du tome 17, Largo Winch, le milliardaire en blue jean, partait enfermé dans une cabine dans une croisière involontaire en mer noire à bord d'un cargo. Évidemment, il était passé sous le contrôle de ceux qui cherchaient à lui nuire et à le discréditer. Pas de grosse surprise de ce point là, on devinait dés le tome précédent qui lui en voulait. Quant à Simon Ovronnaz, il est en prison en Suisse, arrêté pour de vieux forfaits, après pourtant avoir libéré la fille d'un banquier qui était détenue en otage.
Les méchants en font un peu, beaucoup, dans un style grandiloquent à James Bond, mais la profusion d'action fait passer les quarante huit pages de cette BD à toute vitesse.
D'autant que les dessins de Francq sont encore une fois très réussis, notamment un univers maritime impressionnant et l'amusant passage du regretté acteur Jean Bouise en avocat suisse. Quant à l'immeuble Winch inventé sur Chicago, c'est digne d'une ébauche d'architecte.
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