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Critique de Derfuchs


Dans cet épisode Largo Winch va devoir affronter une ribambelle d'ennemis : des oligarques russes, la SEC américaine, le FBI, la police et l'IRS le fisc américain qui veut, sous les traits d'une jolie inspectrice, la peau du milliardaire.
C'est d'autant plus délicat qu'il est toujours, au début de l'album, prisonnier avec sa tradeuse, dans le super ordinateur Jonas, responsable du krach de la bourse de Chicago.
Pour comble de malheur, les parts légués, d'un montant de 50 milliards de US$, par son père sont volées en cours de transport, ce qui fait de Winch un citoyen américain lambda et donc susceptible de payer des impôts avec un gigantesque rappel.

Cet épisode, l'un des meilleurs à mon avis depuis quelques temps et qui fait de Giacometti le digne successeur de Jean van Hamme, est empli de rebondissements, de voyages et de scènes époustouflantes qui approchent de très près Bond 007 dans sa meilleure forme. Dès le début de l'épisode le lecteur peut sans mal s'y référer. Est-ce un bien, pas sûr! Bond est un espion, Winch un homme d'affaires comme il se définit lui même. Mais bon si pas d'action pas d'album ni de série.
A vrai dire je me suis bien amusé dans cette lecture d'autant que le dessinateur, Philippe Franck, est au mieux de sa forme et dire au mieux est un petit mot. La façon dont Winch, se libérant de son emprisonnement dans le super ordinateur, est dessinée est un petit chef d'oeuvre et le dessin je connais un peu.
Les vignettes sont du tonnerre à tel point que j'ai lu une première fois l'album et une seconde pour le plaisir de ses dessins.
Bravo Francq, merci Giacometti.

Lien : https://www.babelio.com/livr..
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