Toujours un plaisir de retrouver Gaston Lagaffe, ses animaux, ses collègues, ses amis et ses meilleurs ennemis. J'adore la signature de
Franquin, différente à chaque page et chaque fois adapté au gag. A l'heure du zéro papier (en théorie), c'est drôle de voir le courrier des lecteurs qui s'accumule ou les archives transformées en labyrinthe.
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