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Critique de panurge
UNE LEGENDE VIVANTE !
Hergé, Uderzo, Jacobs et Franquin....Les années 60 de la bande dessinée bourrée de fantaisie, de plaisir, de délice, réjouissante, poilante, drôle, voire désopilante (Franquin/Uderzo avec l'inestimable présence de Goscinny) ou aventureuse, à la limite du fantastique (Jacobs) ou parcourant le vaste monde voire la Lune (Hergé)...
Franquin qui fera de Spirou et Fantasio un tandem extraordinaire, Franquin, l'égal d'Uderzo, un jour, crée Gaston Lagaffe...une bête, un monstre, une machine à faire des bêtises...dans le tome 12, on trouvera le gaffophone, la boule de bowling, la porte à presser et à moudre le café, l'insecticide, le bilboquet de concours ou à l'élastique, la peinture sur trampoline, le pétard téléphonique, la mouche sur le toit...Si le chat et la mouette rieuse ne font pas encore partie du tableau (la couverture est trompeuse), on retrouve Prunelle, Lebrac, mademoiselle Jeanne, Boulier le comptable, Longtarin l'agent de police, Jules de chez Smith et, of course (de trot sauté), Mr Demesmaeker et ses contrats...
Franquin se distingue aussi par son sens du détail,-regardez le décor p 21 case du bas-sa mise en couleur, le choix des jurons, leur disposition dans les phylactères et les petites surprises posées dans les cases de la planche. Ainsi page 3 dans la dernière case en bas à droite, Gaston sonne à la porte d'un plombier nommé Louis Arthur Vabo ce qui nous fait L.A.Vabo (Elémentaire mon cher Holmes ou of course de galop). Les personnages sont d'emblée extraordinairement sympathiques, leurs silhouettes tout de suite reconnaissables, leur façon de faire parfaitement typologisée...On sourit, on rit, on s'égaie. C'est super bien !
Hergé, Uderzo, Jacobs et Franquin....Les années 60 de la bande dessinée bourrée de fantaisie, de plaisir, de délice, réjouissante, poilante, drôle, voire désopilante (Franquin/Uderzo avec l'inestimable présence de Goscinny) ou aventureuse, à la limite du fantastique (Jacobs) ou parcourant le vaste monde voire la Lune (Hergé)...
Franquin qui fera de Spirou et Fantasio un tandem extraordinaire, Franquin, l'égal d'Uderzo, un jour, crée Gaston Lagaffe...une bête, un monstre, une machine à faire des bêtises...dans le tome 12, on trouvera le gaffophone, la boule de bowling, la porte à presser et à moudre le café, l'insecticide, le bilboquet de concours ou à l'élastique, la peinture sur trampoline, le pétard téléphonique, la mouche sur le toit...Si le chat et la mouette rieuse ne font pas encore partie du tableau (la couverture est trompeuse), on retrouve Prunelle, Lebrac, mademoiselle Jeanne, Boulier le comptable, Longtarin l'agent de police, Jules de chez Smith et, of course (de trot sauté), Mr Demesmaeker et ses contrats...
Franquin se distingue aussi par son sens du détail,-regardez le décor p 21 case du bas-sa mise en couleur, le choix des jurons, leur disposition dans les phylactères et les petites surprises posées dans les cases de la planche. Ainsi page 3 dans la dernière case en bas à droite, Gaston sonne à la porte d'un plombier nommé Louis Arthur Vabo ce qui nous fait L.A.Vabo (Elémentaire mon cher Holmes ou of course de galop). Les personnages sont d'emblée extraordinairement sympathiques, leurs silhouettes tout de suite reconnaissables, leur façon de faire parfaitement typologisée...On sourit, on rit, on s'égaie. C'est super bien !
