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Critique de Laparenthesedeceline


Je viens de prendre une claque. Ou plutôt une belle leçon de vie. J'ai été bousculée et j'ai apprécié l'être. Et par un tout jeune homme qui n'a pas trente ans. Henry Fraser, rugbyman de 17 ans est victime d'un terrible et stupide accident qui endommage irrémédiablement sa colonne vertébrale, lui ôtant l'usage de ses jambes et ses bras. Il devient instantanément tétraplégique. Son histoire, Henry la raconte sans pathos, sans larmes, presque sans tristesse. Il expose les faits, décrit le choc pour lui comme pour les siens, et rapidement la volonté de vivre s'installe avec une force intérieure hors du commun. Plus précisément une acceptation de son handicap qui lui donne le pouvoir d'avancer, puis une adaptation constante à sa nouvelle vie et aux ralentissements qu'elle lui inflige. Il surmonte tout avec l'amour et le soutien inconditionnels de ses parents, ses frères, ses amis. L'élément sans doute le plus important qui ressort dans ce livre et qui aide profondément Henry est la gratitude. Celle qu'il ressent désormais pour tout ce qui l'entoure, pour tout ce qu'il pensait acquis avant son accident. La lumière du soleil, l'eau dans sa bouche, et toutes les petites attentions qui lui sont apportées au quotidien. La gratitude lui permet de voir au-delà de son handicap.
il rappelle qu'il est indispensable de voir le positif et ne pas s'apitoyer sur ce qui n'est plus. Il suffit de voir la nouvelle vie de l'auteur pour réaliser à quel point il a raison. Un témoignage lumineux, plein d'espoir, présenté sous un angle optimiste.
Lien : https://laparenthesedeceline..
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