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Critique de bina
Voici ce que j'appelle une ‘'pièce sous influence'', c'est-à-dire une oeuvre clairement inspirée d'un classique qui a marqué (à la manière d'un auteur, ou d'un héros…)
J'aime ce type de livre pour voir ce qu'une relecture d'une oeuvre peut apporter.
Résumer de la pièce :
Henri est millionnaire. Il vient d'épouser Grâce. Il a une maison de 28 pièces, qu'il lui a fait visiter. Tout. Sauf une pièce, un débarras, à l'étage, en haut de l'escalier. En quoi un débarras pourrait-elle bien l'intéresser ? Mais voilà, elle a promis. Promis de ne pas y aller.
Mais…agitez le chiffon rouge de la curiosité devant le nez d'une femme…que peut-elle bien en faire ?
Vous l'avez reconnu, il s'agit bien d'une relecture contemporaine sous forme théâtrale du conte de Perrault, Barbe Bleue (une commande du théâtre national de Bretagne, crée à Montréal en 2008.)
Je ne vous en dirai pas plus, sur les points communs ou les différences entre la version d'origine et cette transposition actuelle, sinon il n'y aurait plus de surprise.
J'ai bien aimé le travail d'écriture autour du personnage de Grâce. Grâce, qui regarde, comme hypnotisée, la porte close. Dans la tête de Grâce, il y a des voix. Celles de sa mère, de son mari, de sa soeur. Des voix qui s'entrecroisent, comme un jeu entre sa conscience et sa volonté. Grâce, Grâce, que vas-tu faire ?
J'aime ce type de livre pour voir ce qu'une relecture d'une oeuvre peut apporter.
Résumer de la pièce :
Henri est millionnaire. Il vient d'épouser Grâce. Il a une maison de 28 pièces, qu'il lui a fait visiter. Tout. Sauf une pièce, un débarras, à l'étage, en haut de l'escalier. En quoi un débarras pourrait-elle bien l'intéresser ? Mais voilà, elle a promis. Promis de ne pas y aller.
Mais…agitez le chiffon rouge de la curiosité devant le nez d'une femme…que peut-elle bien en faire ?
Vous l'avez reconnu, il s'agit bien d'une relecture contemporaine sous forme théâtrale du conte de Perrault, Barbe Bleue (une commande du théâtre national de Bretagne, crée à Montréal en 2008.)
Je ne vous en dirai pas plus, sur les points communs ou les différences entre la version d'origine et cette transposition actuelle, sinon il n'y aurait plus de surprise.
J'ai bien aimé le travail d'écriture autour du personnage de Grâce. Grâce, qui regarde, comme hypnotisée, la porte close. Dans la tête de Grâce, il y a des voix. Celles de sa mère, de son mari, de sa soeur. Des voix qui s'entrecroisent, comme un jeu entre sa conscience et sa volonté. Grâce, Grâce, que vas-tu faire ?
