Vous prenez un universitaire, un bibliographie de près de deux cents ouvrages et documents et, vraisemblablement un groupe de doctorants à la rédaction, sur un thème porteur : la formation de la société brésilienne issue du métissage. Vous ajoutez une note scandaleuse : la deuxième partie du livre est intitulée: "l'esclavage nègre, sexualité et famille" avec un long chapitre "l'esclavage nègre dans la vie sexuelle" (heureusement, il n'y a rien de scabreux au final) et vous obtenez un ouvrage qui évoque, avec force redites, à la fois la religion, la médecine, la nature, les traditions, les Indiens, les Noirs, les Européens, l'histoire, les enfants, les femmes esclaves, les vêtements, l'alimentation et même le poids des cerveaux...Et j'en passe.
Les proverbes ont souvent raison: Qui trop embrasse mal étreint.
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