Le récit tragique d'une des “marches de la mortˮ racontée par une des victimes. Où l'on voit que le combat pour la survie est plus fréquent que la solidarité entre les prisonnières, les Russes se révélant les plus violentes et les plus efficaces dans le vol, la violence contre leurs camarades d'infortune. Sans oublier les populations qui assistaient en rigolant au passage des esclaves, les enfants n'étant pas les derniers à dénoncer les fuyards aux SS. L'espèce humaine comme a dit Robert Anthelme.
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