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Critique de jeanbiscotte
Quelle bonne surprise ! Évidemment, je m'attendais au pire avec une telle couverture et cette phrase de la quatrième de couverture : « Mi-humaine, mi-vampire, Catherine Crawfield traque les morts-vivants dans l'espoir de tuer son père, le monstre qui a fichu la vie de sa mère en l'air. » J'ai donc entamé cette lecture, d'une part pour découvrir le genre, et d'autre part pour me marrer.
Vu le résumé, j'avoue que je m'attendais à de la bonne grosse daube (aaah préjugé, quand tu nous tiens…). Certes, on est loin de la grande littérature (de la littérature tout court, diront les mauvaises langues), le style n'est pas bien relevé et la trame narrative n'est pas exactement inédite. Mais force est de constater que la mayonnaise prend et qu'on est rapidement happé par l'histoire. En effet, l'auteur nous plonge sur-le-champ (mot que le traducteur semble apprécier tout particulièrement, vu la quantité de fois où il l'utilise) dans le vif du sujet et l'action est présente du début à la fin. La lecture est aisée et agréable.
Côté points négatifs, j'ai trouvé un peu exagérée l'attitude de la mère de Cat qui incite cette dernière à tuer des gens… Et elle est très fière de sa fille pour cela… le manque total de remords chez l'héroïne m'a un peu chiffonné. de même que la quantité impressionnante de salauds vivant dans l'Ohio, une contrée vachement mal famée. Et je ne parle pas de vampires : violeurs, dealers, kidnappeurs, et j'en passe… Vraiment pas de bol pour les gens du coin. Ce qui m'amène à un dernier reproche : trop d'action tue l'action. Un vilain méchant vampire et une petite centaine de pages en moins n'auraient rien gâché, au contraire.
Pour terminer, un petit mot sur les personnages. J'ai bien aimé Bones, il m'a un peu fait penser à moi, avec son corps de rêve et sa force herculéenne… Plus sérieusement, sa répartie et ses petites piques m'ont assez bien plu. Cat, en revanche, m'a par moment un peu énervé. Elle est parfois tellement nunuche (« oh, j'ai dit ça sans réfléchir, ben mince alors », ce genre de choses).
Au final, à ma grande surprise, j'ai vraiment apprécié cette lecture-détente, beaucoup moins noeud-noeud et bateau que ce à quoi je m'attendais (heureusement, faut-il dire). Une (première) expérience du genre plutôt concluante donc.
Vu le résumé, j'avoue que je m'attendais à de la bonne grosse daube (aaah préjugé, quand tu nous tiens…). Certes, on est loin de la grande littérature (de la littérature tout court, diront les mauvaises langues), le style n'est pas bien relevé et la trame narrative n'est pas exactement inédite. Mais force est de constater que la mayonnaise prend et qu'on est rapidement happé par l'histoire. En effet, l'auteur nous plonge sur-le-champ (mot que le traducteur semble apprécier tout particulièrement, vu la quantité de fois où il l'utilise) dans le vif du sujet et l'action est présente du début à la fin. La lecture est aisée et agréable.
Côté points négatifs, j'ai trouvé un peu exagérée l'attitude de la mère de Cat qui incite cette dernière à tuer des gens… Et elle est très fière de sa fille pour cela… le manque total de remords chez l'héroïne m'a un peu chiffonné. de même que la quantité impressionnante de salauds vivant dans l'Ohio, une contrée vachement mal famée. Et je ne parle pas de vampires : violeurs, dealers, kidnappeurs, et j'en passe… Vraiment pas de bol pour les gens du coin. Ce qui m'amène à un dernier reproche : trop d'action tue l'action. Un vilain méchant vampire et une petite centaine de pages en moins n'auraient rien gâché, au contraire.
Pour terminer, un petit mot sur les personnages. J'ai bien aimé Bones, il m'a un peu fait penser à moi, avec son corps de rêve et sa force herculéenne… Plus sérieusement, sa répartie et ses petites piques m'ont assez bien plu. Cat, en revanche, m'a par moment un peu énervé. Elle est parfois tellement nunuche (« oh, j'ai dit ça sans réfléchir, ben mince alors », ce genre de choses).
Au final, à ma grande surprise, j'ai vraiment apprécié cette lecture-détente, beaucoup moins noeud-noeud et bateau que ce à quoi je m'attendais (heureusement, faut-il dire). Une (première) expérience du genre plutôt concluante donc.
