Une pensée qui jusque-là ne l'avait jamais effleurée la cingle : si elle ne connaît pas sa rivale, l'inverse n'est pas vrai. Les maîtresses savent toujours qui est la femme de leur amant. Elles la connaissent sous l'aspect que leur présente l'homme qu'elles partagent – le poids de la vie commune, la lassitude du couple ancien, les traits de caractère au combien répulsif.