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Critique de florencem
Je vais commencer par la fin, mais étant donné que je viens juste de finir ce tome, c'est la partie qui m'a le plus scotchée. Car la fin de ce tome quatre est comme la coupure publicitaire lors d'une émission télévisuelle lorsque le suspens est à son comble. Vous pensez que l'auteur ne peut pas être aussi cruel, eh bien si ! A trois secondes de la fin du match, au moment le plus critique, vous avez le mot fin qui apparait juste en bas, fatidiquement, c'est le cri de mécontentement que je n'écrirais pas ici, mais que vous devez connaître ! Mais en soi, je trouve cela très palpitant. Frustrant, certes, mais cela place le lecteur dans une bonne dynamique, comme si au final, il regardait réellement un match. On est obligé de retenir notre souffle jusqu'au tome cinq, et tout peu se jouer. C'est l'art du suspens !
Le reste du tome est aussi très passionnant. Je me répète mais j'aime réellement cette série, alors que je ne m'y connais pas du tout en basket et que je ne suis pas sportive pour un sous. Et pourtant, je suis entièrement dans le match, et j'apprécie tout autant de lire les tactiques que les joueurs ou leurs coachs élaborent au fur et à mesure. L'analyse du jeu est assez prenante, et j'aime aussi beaucoup voir les joueurs se dépasser et essayer d'aller de l'avant face aux obstacles.
Je vous l'accorde, cependant, on se retrouve très souvent dans des situations à la "Olive et Tom" (pour ceux qui ne connaissent pas, c'est un manga et un anime centré sur le football avec des techniques irréalisables mais qui envoient et sont très spectaculaires). Je ne pense pas qu'un joueur puisse faire un panier en shootant de l'autre bout du terrain. Je me trompe peut-être, mais ça me semble irréalisable de faire un trois points comme ça. Mais je m'en moque tout aussi bien. Ce côté un peu "spectacle" rend les matchs plus intéressants, moins monotones aussi, et puis j'ai été élevée aux animes façon "Olive et Tom", donc pour moi, c'est presque normal.
L'autre côté très positif de ce tome quatre est l'une de ses morales. Je crois que chaque tome met en avant une spécificité du sport collectif et renvoie ainsi un message très positif. J'aime ce genre d'initiative chez un auteur, quel que soit son support, surtout si la "morale" n'est pas niaise. Ici Tadatoshi Fujimaki met en avant le fait qu'une victoire est une victoire en équipe. Si elle repose sur un seul joueur, elle n'en est pas vraiment une. Cela peut paraître assez bête parce que oui, c'est un sport collectif, mais cela rappelle un peu ces équipes qui misent tout sur un joueur vedette, et lors de la victoire, il n'y en a que pour lui. Mais s'il avait réellement été seul sur le terrain, il n'aurait pas gagné. Un message qui peut d'ailleurs être associé à beaucoup d'autres situations, et qui envoie une note positive au lectorat de Kuroko's Basket.
Le reste du tome est aussi très passionnant. Je me répète mais j'aime réellement cette série, alors que je ne m'y connais pas du tout en basket et que je ne suis pas sportive pour un sous. Et pourtant, je suis entièrement dans le match, et j'apprécie tout autant de lire les tactiques que les joueurs ou leurs coachs élaborent au fur et à mesure. L'analyse du jeu est assez prenante, et j'aime aussi beaucoup voir les joueurs se dépasser et essayer d'aller de l'avant face aux obstacles.
Je vous l'accorde, cependant, on se retrouve très souvent dans des situations à la "Olive et Tom" (pour ceux qui ne connaissent pas, c'est un manga et un anime centré sur le football avec des techniques irréalisables mais qui envoient et sont très spectaculaires). Je ne pense pas qu'un joueur puisse faire un panier en shootant de l'autre bout du terrain. Je me trompe peut-être, mais ça me semble irréalisable de faire un trois points comme ça. Mais je m'en moque tout aussi bien. Ce côté un peu "spectacle" rend les matchs plus intéressants, moins monotones aussi, et puis j'ai été élevée aux animes façon "Olive et Tom", donc pour moi, c'est presque normal.
L'autre côté très positif de ce tome quatre est l'une de ses morales. Je crois que chaque tome met en avant une spécificité du sport collectif et renvoie ainsi un message très positif. J'aime ce genre d'initiative chez un auteur, quel que soit son support, surtout si la "morale" n'est pas niaise. Ici Tadatoshi Fujimaki met en avant le fait qu'une victoire est une victoire en équipe. Si elle repose sur un seul joueur, elle n'en est pas vraiment une. Cela peut paraître assez bête parce que oui, c'est un sport collectif, mais cela rappelle un peu ces équipes qui misent tout sur un joueur vedette, et lors de la victoire, il n'y en a que pour lui. Mais s'il avait réellement été seul sur le terrain, il n'aurait pas gagné. Un message qui peut d'ailleurs être associé à beaucoup d'autres situations, et qui envoie une note positive au lectorat de Kuroko's Basket.
