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Critique de Alfaric


Ce tome 18 poursuit la ligne droite vers le grand final :
- dans le niveau 65, intitulé « au tréfonds du désespoir », après Arus c’est Jagan qui est soumis à la tentation de retrouver les siens défunts dans l’au-delà… mais sa mère Freia donne sa vie en échange de la sienne !
- dans le niveau 66, intitulé « éveil », a lieu la belle entre Arus et Jagan, finalement surclassé par la superfoudre de son vis-à-vis : Jagan est mort, vive Alan le deuxième héros héritier de Roto !
- dans le niveau 67, intitulé « la rébellion du roi dragon », alors que les rebelles du royaume souterrain d’Aelfgard lance une offensive générale pour reprendre le château de Radatome, le roi-dragon voit ses soldats absorbés par le Dieu de la Terreur qui marque son avènement par l’aurore des ténèbres…
- dans le niveau 68, intitulé « prélude à la destruction », nous assistons à la mobilisation générale des peuples d’Aliahan, de Carmen, d’Assarahm, d’Aelfgard et de Jipang ! Même Léviathan le souverain en convalescence des océans se joint à la lutte finale…
- dans le niveau 69, intitulé « rencontre inattendue », tandis que la team Arus lance sans succès l’oméga-portation pour bannir le Dieu de la Terreur, le roi-dragon découvre la vérité sur ses origines donc sur lui-même… Alors qu’il attend le coup fatal de la part d’Aster le troisième héros héritier de Roto, il obtient le pardon donc la rédemption…
- dans le niveau 70, intitulé « le retour du démon », alors que le Dieu et la Terreur triomphe et s’apprête à faire subir aux royaumes des hommes le même sort qu’il a naguère infligé à l’Empire du Mu, Aster et le roi-dragon proclame conjointement l’Union Sacrée : humains, dragons et monstres combattront côte à côte contre l’incarnation des Forces du Mal !!!

J’ai très bien kiffé ce nouvel avatar de la quête du Héros aux mille et un visages (vous savez, ce truc qui relie tous les mythes fondateurs de l’humanité mais que les snobinards qui se croient au-dessus du commun des mortels qualifient d’idéologie fascisante pour les péquenots), magnifiquement mis en valeur par des dessins à la Akira Toriyama supérieurs à ceux d’Akira Toriyama (oui je sais, je blasphème ^^). Ce mélange entre "Le Seigneur des anneaux" et "Star Wars" ne pèche que par son classicisme qui fait qu’on joue parfois un chouia trop facilement du violon. Pour tout le reste, c’est tip-top ! 4,5 étoiles
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