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Critique de Meps
Petit bilan de lecture de 4 tomes (8 à 11) de la série de comics de la Tour Sombre. Vu d'un oeil extérieur, on pourrait analyser ça comme une exploitation commerciale d'une saga romanesque désormais close. Et quand on connait le sens des affaires du père King, on peut comprendre cette interprétation.
Mais pour le fan de la saga que je suis ce travail est surtout l'occasion de retrouver Roland, de mieux comprendre son histoire, déjà bien esquissée dans le tome Magie et Cristal de la version romanesque. Travail intéressant confié à Robin Furth et ses illustrateurs: combler les vide de l'histoire, respecter la trame, et donner une réalité à des personnages de papier. Les dessins sont sublimes et le récit haletant.
Le comics en lui même est agréablement complété par des articles détaillant des aspects de Gilead ou des explications de Furth sur son travail d'adaptation-création. Placés en fin de volume, ces annexes ne gênent pas la lecture de ceux qui veulent se contenter de l'histoire en elle même. de beaux objets que ces albums donc... Il faut bien motiver l'achat des fans... même si en l'occurrence ici, les bibliothèques sont mes amies.
Mais pour le fan de la saga que je suis ce travail est surtout l'occasion de retrouver Roland, de mieux comprendre son histoire, déjà bien esquissée dans le tome Magie et Cristal de la version romanesque. Travail intéressant confié à Robin Furth et ses illustrateurs: combler les vide de l'histoire, respecter la trame, et donner une réalité à des personnages de papier. Les dessins sont sublimes et le récit haletant.
Le comics en lui même est agréablement complété par des articles détaillant des aspects de Gilead ou des explications de Furth sur son travail d'adaptation-création. Placés en fin de volume, ces annexes ne gênent pas la lecture de ceux qui veulent se contenter de l'histoire en elle même. de beaux objets que ces albums donc... Il faut bien motiver l'achat des fans... même si en l'occurrence ici, les bibliothèques sont mes amies.
