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Critique de Alfaric
Dans ce tome 10, les joueurs et le staff de la team Karasuno rejoint le Kantô pour un stage de préparation où ils retrouvent leurs vieux rivaux de la team Nekoma, mais aussi la team Fukurodani menée par le bouillant Kôtaro Bokuto aux airs de hibou et la team Itachiyama, plus discrète mais tout aussi efficace…
Un tome de transition plus psychologique que sportif :
- Shôyô et Tobio et se disputent violemment, mais se finissent par se retrouver avec Tooru Oikawa chez le vieux coach Ukai qui apprend au premier les attaques aux trois temps, et au deuxième les types de passes qui permettent de les exploiter…
- Tadashi et Keii se disputent violemment, et on apprend le passé de Kei qui a vu son grand frère comme un héros avant de tomber de haut…
Tout le monde veut progresser, s'améliorer, évoluer… le reste de l'équipe n'est pas en reste et s'entraîne à reproduire les attaque synchronisés de la team Brésil !
Le sens ce tome repose sur un jeu de mot intraduisible : Shôyo Hinata comprend dans l'écriture de son nom l'idéogramme du mot « soleil », et dans celui de Kei Tsukishima il y a celui du mot « lune », or en japonais l'idéogramme du mot lumière s'écrit en combinant ceux des mots « soleil » et « lune »… Pour la team Karasuno, la lumière viendra-t-elle de ses deux joueurs les plus inexpérimentés donc disposant de la plus grande marche de progression ? to be continued
Un tome de transition plus psychologique que sportif :
- Shôyô et Tobio et se disputent violemment, mais se finissent par se retrouver avec Tooru Oikawa chez le vieux coach Ukai qui apprend au premier les attaques aux trois temps, et au deuxième les types de passes qui permettent de les exploiter…
- Tadashi et Keii se disputent violemment, et on apprend le passé de Kei qui a vu son grand frère comme un héros avant de tomber de haut…
Tout le monde veut progresser, s'améliorer, évoluer… le reste de l'équipe n'est pas en reste et s'entraîne à reproduire les attaque synchronisés de la team Brésil !
Le sens ce tome repose sur un jeu de mot intraduisible : Shôyo Hinata comprend dans l'écriture de son nom l'idéogramme du mot « soleil », et dans celui de Kei Tsukishima il y a celui du mot « lune », or en japonais l'idéogramme du mot lumière s'écrit en combinant ceux des mots « soleil » et « lune »… Pour la team Karasuno, la lumière viendra-t-elle de ses deux joueurs les plus inexpérimentés donc disposant de la plus grande marche de progression ? to be continued
