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Critique de LePamplemousse
Mireille a été une ouvrière de la chaussure pendant des années, mais une vie ne peut se résumer à un travail, même si on y a consacré des dizaines d'années.
Mireille était la tante de l'auteur, un sociologue qui l'a longuement écouté raconter sa vie, avec ses difficultés et ses joies, petites ou grandes. Née en 1924 et décédée en 2007 à l'âge de 77 ans, Mireille a eu ce qu'elle estime être une bonne vie, une vie honnête, une vie simple, une vie d'ouvrière, mais elle n'en attendait pas davantage.
Avec des mots simples, Mireille nous décrit son quotidien passé à coudre des milliers de chaussures, à cuisiner des plats riches et réconfortants pour toute la famille, à s'occuper de ses enfants, à gérer son budget serré, à lire son journal ou à écouter une émission à la radio ou à la télévision, à fredonner des chansons de « dans le temps »…
J'ai été émue par ce témoignage d'une grande justesse qui relate la vie d'une femme ordinaire, qui par bien des côtés ressemble à celle de mes grand-mères.
Je l'ai trouvé attachante cette Mireille qui a travaillé dur pendant toute sa vie, sans jamais se plaindre de son sort, qui prenait plaisir à retrouver chaque semaine les mêmes animateurs à la télé, qui s'est découvert une passion tardive pour la peinture ou qui a pris plaisir à dorloter ses petits-enfants ou à faire de beaux voyages une fois à la retraite.
L'auteur donne la parole à une femme à la fois ordinaire, car elle a eu la même vie que des millions d'autres, et unique, parce que nos proches le sont toujours.
Un très beau témoignage qui est aussi une façon de rendre justice à toutes les autres « Mireille » du monde, qu'elles soient ouvrières de la chaussure ou d'autres choses, car elles sont les témoins d'une époque et d'un mode de vie qui tend à disparaitre.
Mireille était la tante de l'auteur, un sociologue qui l'a longuement écouté raconter sa vie, avec ses difficultés et ses joies, petites ou grandes. Née en 1924 et décédée en 2007 à l'âge de 77 ans, Mireille a eu ce qu'elle estime être une bonne vie, une vie honnête, une vie simple, une vie d'ouvrière, mais elle n'en attendait pas davantage.
Avec des mots simples, Mireille nous décrit son quotidien passé à coudre des milliers de chaussures, à cuisiner des plats riches et réconfortants pour toute la famille, à s'occuper de ses enfants, à gérer son budget serré, à lire son journal ou à écouter une émission à la radio ou à la télévision, à fredonner des chansons de « dans le temps »…
J'ai été émue par ce témoignage d'une grande justesse qui relate la vie d'une femme ordinaire, qui par bien des côtés ressemble à celle de mes grand-mères.
Je l'ai trouvé attachante cette Mireille qui a travaillé dur pendant toute sa vie, sans jamais se plaindre de son sort, qui prenait plaisir à retrouver chaque semaine les mêmes animateurs à la télé, qui s'est découvert une passion tardive pour la peinture ou qui a pris plaisir à dorloter ses petits-enfants ou à faire de beaux voyages une fois à la retraite.
L'auteur donne la parole à une femme à la fois ordinaire, car elle a eu la même vie que des millions d'autres, et unique, parce que nos proches le sont toujours.
Un très beau témoignage qui est aussi une façon de rendre justice à toutes les autres « Mireille » du monde, qu'elles soient ouvrières de la chaussure ou d'autres choses, car elles sont les témoins d'une époque et d'un mode de vie qui tend à disparaitre.
