1915. Dans un cahier, des notes de musique. Celles d'une symphonie inachevée pour violon, celles qui, perdues, semblaient annoncer la disparition du petit enfant arménien Dikran. Celles qui, retrouvées, témoignent enfin de la survie de Dikran et sa soeur ;mais aussi du génocide de plus d'un million d'Arméniens par le peuple turque. de la poésie pour rappeler l'atrocité. Pour que notre vigilance et notre mémoire ne s'éteignent pas...
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