Cormoran Strike, tome 4 : Blanc mortel

Des longueurs, une intrigue compliquée et lancinante... des pages et des pages sur le moignon, la douleur, l'enflure et re-moignon... L'écriture de Rowling était beaucoup plus originale et pétillante dans ses récits avec le sorcier Potter. La tension entre Robin et Matt qui s'étire platement est décrite de façon puérile et l'attrait exercé par Strike sur les femmes est incompréhensible et presque répugnant.
Un 300 pages au lieu de la brique longue et lassante de 700 pages aurait peut-être pu alléger la lecture et apporter un certain plaisir... mais peine perdue. C'est le dernier de la série que je vais lire...