Cela m'a semblé être une chronique familiale sud-africaine à fort contenu
Graham Greene : les personnages principaux sont tous aux prises avec des dilemmes moraux et des traumatismes parfois sans nom, un pasteur passe qui a renoncé à sa foi et un prêtre catholique qui révèle le secret de la confession . Mais je ne sais pas trop de quoi parle ce roman.
La promesse? Oui, bien sûr,
la promesse ! Dans ce roman, il lie l'infidélité au mot donné au racisme inhérent des fermiers blancs en Afrique du Sud, même après l'apartheid.
La promesse non tenue est simplement l'illustration d'une famille (et, par extension, d'un pays ?) qui s'effondre à cause d'un déficit moral. Je ne sais pas, mais cette histoire ne m'a pas accroché. Peut-être est-ce le commentaire hautain de cet irritant narrateur sur le comportement des protagonistes. C'est peut-être aussi le fait que plusieurs éléments du narratif ne sont pas définis. Et sans aucun doute, c'est aussi dû au fait que
Galgut dépeint à peine le personnage le plus intéressant, l'Amor silencieux mais inébranlable. Non, ce roman prometteur (jeu de mots) ne me convient pas. Ce n'est même pas proche de
Graham Greene.
Commenter  J’apprécie         30