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Critique de Elisons


Le Nouvel Attila nous étonnera toujours ! le voici qui ouvre ses ailes du côté de littératures moins connues pour nous convaincre qu'elles ne sont pas moins créatives, moins inventives, moins subtiles, moins intéressantes. La femme qui a mangé les lèvres de mon père est un livre dont la couverture ne ment pas : on y plonge en retenant sa respiration, on y vit en apnée jusqu'au vertige des profondeurs, on en ressort ébloui par l'intensité de rêve éveillé, la profusion de lumières aveuglantes, la promiscuité de personnages fabuleux, mystérieux, truculents. le texte, comme tous ceux du Nouvel Attila est d'une parfaite souplesse, d'une puissance d'évocation, d'une justesse de langue incomparables. La traductrice, il est vrai, n'en est pas à son premier succès...
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