LES LANGUES SONT À L’IMAGE DU DÉSORDRE QUE JE SUIS
À Elisa
…Les langues poursuivent le désordre que je suis,
et c’est ainsi que les attributs de hautes températures
et les verbes de neige
me traitent sans pitié
comme ils traitent les sujets fondus.
Ce n’est pas simple pour moi,
mais parfois je comprends
la nostalgie de l’ordre qu’ont mes poèmes.