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Critique de HeleneEtLesBouquins
[SERVICE PRESSE].
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🏠 entité de Lili Garden.
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Je remercie chaleureusement mon partenaire pour ce service presse.
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Mon résumé :.
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Caroline mène une vie bien rangée avec Charles, son mari et Gabriel, leur fils de cinq ans. Désireux d'accéder à la propriété, le couple cherche une maison à acheter. Caroline jette son dévolu sur Providence, une sublime maison de maître. Une fois installés dans la maison, de mystérieux phénomènes commencent à apparaître. D'abord sceptique, Caroline va rapidement s'apercevoir qu'un esprit hante cette maison.
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Caroline est mère au foyer. Femme dévouée de Charles, médecin et mère attentionnée pour Gabriel, leur fils de cinq ans, c'est tout naturellement qu'elle se met en quête de la maison parfaite pour accueillir sa petite famille. Étrangement attirée par Providence, une grande bâtisse entourée de verdure, elle fera des pieds et des mains pour l'acquérir, quitte à se mettre Charles à dos. Rapidement, d'étranges phénomènes se produisent mais seule Caroline semble les voir. Une porte qui s'ouvre et se ferme toute seule, un miroir bancal, des lumières qui s'allument alors que la propriétaire est certaine de les avoir éteintes, autant de choses qui inquiètent Caroline. Lorsque Gabriel commence à dessiner des moustaches noires sur ses dessins d'école, en lui avouant qu'il voit un monsieur dans la maison, Caroline comprend que quelqu'un hante les lieux. Elle va tout faire pour découvrir la vérité, quitte à en payer le prix.
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Mon ressenti :.
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C'est la couverture et le résumé de ce roman qui m'ont donné envie de le lire.
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Je ne connaissais pas cette auteure avant de découvrir l'histoire de Caroline. L'auteure nous dépeint la famille parfaite. Caroline, mère et femme parfaite, qui attend patiemment que son médecin de mari rentre le soir après sa longue journée de boulot. L'écriture est fluide, simple, quoique des fois, certaines phrases mal tournées alourdissent un peu la lecture.
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Pour autant, ce roman est complet. La chronologie des faits nous enfoncent peu à peu dans la psychose et l'angoisse que ressent Caroline. J'ai aimé que Gabriel soit inclu dans ce cercle anxiogène mais j'aurai aimé que ce personnage soit plus développé. Il avait un réel potentiel angoissant, c'est dommage.
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Charles m'a carrément agacée mais j'ai aimé découvrir cet esprit cartésien. Médecin, homme de sciences, il est persuadé que sa femme est timbrée puisqu'il pense de manière rationnelle et j'ai apprécié ce décalage entre le mari et la femme. Il part du principe que le fait que sa femme soit seule à la maison, sans vie sociale, lui monte à la tête. J'ai également aimé que Caroline taise ses angoisses et tienne son journal intime. Il constitue un mince fil qui relie ce qu'elle vit au quotidien et le peu de bon sens qu'il lui reste.
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En substance, j'ai eu beaucoup de mal à m'imprégner de l'histoire, à la vivre. Je pense que j'en attendais trop. J'imaginais un récit à la Amytiville ou The Conjuring, c'est idiot. L'auteur n'est pas tombé dans les travers du copiage et a développé ses propres idées. le contenu du roman est bon, vraiment bon. J'entends par là que la succession d'idées, de faits, s'emboîte parfaitement et laisse Caroline s'enfoncer dans la sombre histoire de cette maison. Pour autant, je n'ai pas été retenue en haleine ou crispée de peur en attendant avidement les rebondissements.
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Le roman se divise en deux parties. Une partie présentation de la famille, achat et emménagement à Providence, début des phénomènes paranormaux. Ce fut, pour moi, assez long à découvrir.
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La deuxième partie fut plus agréable. Caroline est complètement sous l'emprise du mal, elle sombre mais durant ses courts moments de lucidité, elle se met en quête de trouver qui est l'esprit qui hante Providence. A partir de là, ma lecture a été plus agréable car j'étais quelque peu fascinée par la ténacité de Caroline à vouloir se débarrasser de l'esprit de la maison. Esprit qui, a mon sens, manquait de hargne. Même s'il restait assez intrusif, je l'aurais voulu plus malsain, plus agressif.
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Là où j'ai vraiment adhéré, c'est vers la fin, quand Caroline trouve une partie de l'histoire de cet esprit, puis fait appel au prêtre.
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Je n'en dirait pas plus au risque de spoiler. Même si je reste un peu sur ma faim, ce roman a le mérite d'être bien écrit et saura, je pense, ravir les amateurs du genre. La grande consommatrice de films d'horreur que je suis aurait voulu plus de précision, plus de peur, dans l'écriture.
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Si vous êtes prêts à entrer chez Caroline, n'hésitez pas !.
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www.evidence-boutique.com et grâce au code promo ‘'bouquinshelene'', obtenez -10% sur votre panier.
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🏠 entité de Lili Garden.
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Je remercie chaleureusement mon partenaire pour ce service presse.
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Mon résumé :.
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Caroline mène une vie bien rangée avec Charles, son mari et Gabriel, leur fils de cinq ans. Désireux d'accéder à la propriété, le couple cherche une maison à acheter. Caroline jette son dévolu sur Providence, une sublime maison de maître. Une fois installés dans la maison, de mystérieux phénomènes commencent à apparaître. D'abord sceptique, Caroline va rapidement s'apercevoir qu'un esprit hante cette maison.
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Caroline est mère au foyer. Femme dévouée de Charles, médecin et mère attentionnée pour Gabriel, leur fils de cinq ans, c'est tout naturellement qu'elle se met en quête de la maison parfaite pour accueillir sa petite famille. Étrangement attirée par Providence, une grande bâtisse entourée de verdure, elle fera des pieds et des mains pour l'acquérir, quitte à se mettre Charles à dos. Rapidement, d'étranges phénomènes se produisent mais seule Caroline semble les voir. Une porte qui s'ouvre et se ferme toute seule, un miroir bancal, des lumières qui s'allument alors que la propriétaire est certaine de les avoir éteintes, autant de choses qui inquiètent Caroline. Lorsque Gabriel commence à dessiner des moustaches noires sur ses dessins d'école, en lui avouant qu'il voit un monsieur dans la maison, Caroline comprend que quelqu'un hante les lieux. Elle va tout faire pour découvrir la vérité, quitte à en payer le prix.
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Mon ressenti :.
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C'est la couverture et le résumé de ce roman qui m'ont donné envie de le lire.
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Je ne connaissais pas cette auteure avant de découvrir l'histoire de Caroline. L'auteure nous dépeint la famille parfaite. Caroline, mère et femme parfaite, qui attend patiemment que son médecin de mari rentre le soir après sa longue journée de boulot. L'écriture est fluide, simple, quoique des fois, certaines phrases mal tournées alourdissent un peu la lecture.
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Pour autant, ce roman est complet. La chronologie des faits nous enfoncent peu à peu dans la psychose et l'angoisse que ressent Caroline. J'ai aimé que Gabriel soit inclu dans ce cercle anxiogène mais j'aurai aimé que ce personnage soit plus développé. Il avait un réel potentiel angoissant, c'est dommage.
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Charles m'a carrément agacée mais j'ai aimé découvrir cet esprit cartésien. Médecin, homme de sciences, il est persuadé que sa femme est timbrée puisqu'il pense de manière rationnelle et j'ai apprécié ce décalage entre le mari et la femme. Il part du principe que le fait que sa femme soit seule à la maison, sans vie sociale, lui monte à la tête. J'ai également aimé que Caroline taise ses angoisses et tienne son journal intime. Il constitue un mince fil qui relie ce qu'elle vit au quotidien et le peu de bon sens qu'il lui reste.
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En substance, j'ai eu beaucoup de mal à m'imprégner de l'histoire, à la vivre. Je pense que j'en attendais trop. J'imaginais un récit à la Amytiville ou The Conjuring, c'est idiot. L'auteur n'est pas tombé dans les travers du copiage et a développé ses propres idées. le contenu du roman est bon, vraiment bon. J'entends par là que la succession d'idées, de faits, s'emboîte parfaitement et laisse Caroline s'enfoncer dans la sombre histoire de cette maison. Pour autant, je n'ai pas été retenue en haleine ou crispée de peur en attendant avidement les rebondissements.
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Le roman se divise en deux parties. Une partie présentation de la famille, achat et emménagement à Providence, début des phénomènes paranormaux. Ce fut, pour moi, assez long à découvrir.
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La deuxième partie fut plus agréable. Caroline est complètement sous l'emprise du mal, elle sombre mais durant ses courts moments de lucidité, elle se met en quête de trouver qui est l'esprit qui hante Providence. A partir de là, ma lecture a été plus agréable car j'étais quelque peu fascinée par la ténacité de Caroline à vouloir se débarrasser de l'esprit de la maison. Esprit qui, a mon sens, manquait de hargne. Même s'il restait assez intrusif, je l'aurais voulu plus malsain, plus agressif.
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Là où j'ai vraiment adhéré, c'est vers la fin, quand Caroline trouve une partie de l'histoire de cet esprit, puis fait appel au prêtre.
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Je n'en dirait pas plus au risque de spoiler. Même si je reste un peu sur ma faim, ce roman a le mérite d'être bien écrit et saura, je pense, ravir les amateurs du genre. La grande consommatrice de films d'horreur que je suis aurait voulu plus de précision, plus de peur, dans l'écriture.
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Si vous êtes prêts à entrer chez Caroline, n'hésitez pas !.
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