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Critique de SaveurLitteraire
Le titre m'a attiré, la photo de couverture m'a fait un effet que je saurais décrire. Je vais vous le dire, en général, je lis peu de témoignages. Pas que je n'aime pas, mais je sais que ce sont des mots de personnes qui ont vécu ces choses, qui tiennent à les partager, et ça me fait quelque chose. le sujet me touche d'une certaine manière. Sans m'épancher là-dessus, je me dis qu'il fallait que je lise ce témoignage. Il le fallait, un devoir que je me devais d'accomplir.
CE ROMAN N'EST PAS Á REMETTRE DANS TOUTES LES MAINS !
Personne n'est venu, c'est le témoignage poignant d'un homme qui a eu l'immense courage de nous livrer son enfance dans l'enfer même. Robbie, cinq ans à peine, un enfant innocent et heureux malgré la vie dure qu'il a. Robbie, qui évolue, qui se bat et se rebelle contre ces personnes inhumaines. Qui ne perd pas espoir, en dépit de tous les sévices subis. Beaucoup disent que l'on parle en mal des religieuses, qu'on devrait les voir autrement, mais taire la vérité n'aide pas.
Dans ce témoignage, oui, les religieuses sont d'horribles personnes qui persécutent sans aucune raison. La foi leur dicte quoi faire ? Je regrette, mais il y a des limites. Laisser des enfants sous la garde de tels personnages est un crime à lui tout seul. On savait ce qu'il s'y passait, dans ces orphelinats de Jersey, et personne n'a rien dit. Personne n'est venu. Robbie et son petit frère, Davie, ont dû se battre et survivre comme ils ont pu. Davie en garderait des séquelles irréversibles suite à un “accident” qui n'aurait jamais dû se produire. Robbie gardera espoir, mais son enfance, il ne l'aura jamais vécu. Et c'est pareil pour d'autres enfants qui deviendront adultes avant l'heure.
Robbie survit, mais à quel prix ? D'autres, qui n'ont pas supporté cet enfer, s'échappent vers d'autres endroits, plus heureux pour eux, je l'espère. Brian, Marc. Atroce, c'est le seul mot, et encore, il n'est pas assez fort. Aucun mot n'est assez fort pour désigner ce qu'on ressent.
Je ne sais pas comment terminer cette chronique, parce qu'en cet instant, je suis encore perdue, pas assez objective probablement ? le style est franc, direct, on ne nous épargne pas de détails, et c'est tant mieux. Il ne faut pas oublier, il ne faut pas fermer les yeux devant tout ce qui s'est produit. L'orphelinat de l'horreur, comme il est désormais appelé, a finalement été révélé, mais tous ces enfants meurtris ne guériront jamais totalement de ce qu'ils ont subi. On ne peut que leur souhaiter de continuer à vivre, de se battre, d'être aussi heureux que possible. Et à toutes ces personnes qui leur ont fait du mal, on leur souhaite de ne plus jamais ressentir le moindre moment de bonheur. Rien n'excusera jamais leurs actes, rien.
Merci d'avoir partagé ce témoignage. Merci.
Lien : https://saveurlitteraire.wor..
CE ROMAN N'EST PAS Á REMETTRE DANS TOUTES LES MAINS !
Personne n'est venu, c'est le témoignage poignant d'un homme qui a eu l'immense courage de nous livrer son enfance dans l'enfer même. Robbie, cinq ans à peine, un enfant innocent et heureux malgré la vie dure qu'il a. Robbie, qui évolue, qui se bat et se rebelle contre ces personnes inhumaines. Qui ne perd pas espoir, en dépit de tous les sévices subis. Beaucoup disent que l'on parle en mal des religieuses, qu'on devrait les voir autrement, mais taire la vérité n'aide pas.
Dans ce témoignage, oui, les religieuses sont d'horribles personnes qui persécutent sans aucune raison. La foi leur dicte quoi faire ? Je regrette, mais il y a des limites. Laisser des enfants sous la garde de tels personnages est un crime à lui tout seul. On savait ce qu'il s'y passait, dans ces orphelinats de Jersey, et personne n'a rien dit. Personne n'est venu. Robbie et son petit frère, Davie, ont dû se battre et survivre comme ils ont pu. Davie en garderait des séquelles irréversibles suite à un “accident” qui n'aurait jamais dû se produire. Robbie gardera espoir, mais son enfance, il ne l'aura jamais vécu. Et c'est pareil pour d'autres enfants qui deviendront adultes avant l'heure.
Robbie survit, mais à quel prix ? D'autres, qui n'ont pas supporté cet enfer, s'échappent vers d'autres endroits, plus heureux pour eux, je l'espère. Brian, Marc. Atroce, c'est le seul mot, et encore, il n'est pas assez fort. Aucun mot n'est assez fort pour désigner ce qu'on ressent.
Je ne sais pas comment terminer cette chronique, parce qu'en cet instant, je suis encore perdue, pas assez objective probablement ? le style est franc, direct, on ne nous épargne pas de détails, et c'est tant mieux. Il ne faut pas oublier, il ne faut pas fermer les yeux devant tout ce qui s'est produit. L'orphelinat de l'horreur, comme il est désormais appelé, a finalement été révélé, mais tous ces enfants meurtris ne guériront jamais totalement de ce qu'ils ont subi. On ne peut que leur souhaiter de continuer à vivre, de se battre, d'être aussi heureux que possible. Et à toutes ces personnes qui leur ont fait du mal, on leur souhaite de ne plus jamais ressentir le moindre moment de bonheur. Rien n'excusera jamais leurs actes, rien.
Merci d'avoir partagé ce témoignage. Merci.
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