>
Critique de Pappa
Je ne suis pas un amateur de romans policiers. Je ne suis pas non plus un inconditionnel des romans historiques. Je ne suis certes pas un lecteur de biographies romancées.
Mais lorsque le roman est un subtil mélange de tout ça, porté par une écriture simple et imagée, me voilà comblé.
Alors roman historique, biographie romancée ou roman policier, peu importe.
Comme le souligne l'auteur lui-même dans sa postface, sans excessive humilité, cela dit, citant José Manuel Lara : " Il n'existe en réalité que deux sortes de romans, les bons, et les mauvais. " Et celui-là en est assurément un bon.
Mais lorsque le roman est un subtil mélange de tout ça, porté par une écriture simple et imagée, me voilà comblé.
Alors roman historique, biographie romancée ou roman policier, peu importe.
Comme le souligne l'auteur lui-même dans sa postface, sans excessive humilité, cela dit, citant José Manuel Lara : " Il n'existe en réalité que deux sortes de romans, les bons, et les mauvais. " Et celui-là en est assurément un bon.
