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Critique de Austral
Je cite un extrait de la postface : "La critique a souvent fait de ce livre l'exemple même de ce qu'on a appelé le réalisme magique."
Je constate avec regret que je suis resté hermétique à ce réalisme magique là. Pourtant le peu que je connais de la littérature latino-américaine réussit généralement à m'embarquer où elle veut quand elle veut. Mais La maîtresse d'Ixtepec m'a laissé sur le quai. Peut-être le choix d'Elena Garro (choix audacieux et original) de prendre pour narrateur le village d'IXtepec n'a t-il pas tenu toutes ses promesses ? Car du coup les personnages "de chair" m'ont paru singulièrement dépourvus de substance.
Quoi qu'il en soit, je souhaite à celles et ceux qui auront envie de lire ce livre de faire une meilleure expérience que moi.
Je constate avec regret que je suis resté hermétique à ce réalisme magique là. Pourtant le peu que je connais de la littérature latino-américaine réussit généralement à m'embarquer où elle veut quand elle veut. Mais La maîtresse d'Ixtepec m'a laissé sur le quai. Peut-être le choix d'Elena Garro (choix audacieux et original) de prendre pour narrateur le village d'IXtepec n'a t-il pas tenu toutes ses promesses ? Car du coup les personnages "de chair" m'ont paru singulièrement dépourvus de substance.
Quoi qu'il en soit, je souhaite à celles et ceux qui auront envie de lire ce livre de faire une meilleure expérience que moi.
