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Critique de Khalya
Ce roman et moi, c'était compliqué.
J'ai dû le commencer 3 ou 4 fois et l'abandonner au bout de 30 pages autant de fois.
Mais je sentais que ce n'était pas tant le roman qui était en cause que mon état d'esprit au moment où j'ai essayé de le lire.
Donc, j'ai persévéré.
Et j'ai eu raison. Parce que les planètes ont fini par s'aligner et j'ai lu ce roman d'une seule traite.
Et pourtant... qu'est-ce que j'ai détesté les personnages!
D'abord le « hero » de l'histoire : Bruno, 11 ans, qui s'imagine détective privé comme son père.
Ce sale gosse ment un nombre incalculable de fois à la police et à ses parents, dissimule des preuves, au prétexte qu'il doit faire "triompher la vérité".
Tout ceci n'est qu'un immense jeu pour lui, alors qu'une femme est morte.
À plusieurs reprises je me suis demandé ce qu'attendaient ses parents pour lui secouer les puces et le punir une bonne fois pour toute histoire de lui remettre les idées en place.
Du coup, je n'ai pas beaucoup plus apprécié les parents. Entre le père qui encourage le comportement de son fils et la mère, prête à laisser un innocent en prison du moment que son quotidien retrouve sa normalité, il n'y en a pas un pour rattraper l'autre.
En revanche, j'ai beaucoup aimé la flic, donc je comprends l'exaspération face à ce gamin mais qui essaie toujours de prendre la peine de l'écouter, même quand il dépasse les bornes.
La fin m'a surprise. J'ai apprécié les diverses fausses pistes, les rebondissements, et le fait que personne ne soit totalement blanc dans cette histoire.
Malgré mon antipathie pour les personnages principaux, j'ai beaucoup aimé suivre cette enquête.
J'ai dû le commencer 3 ou 4 fois et l'abandonner au bout de 30 pages autant de fois.
Mais je sentais que ce n'était pas tant le roman qui était en cause que mon état d'esprit au moment où j'ai essayé de le lire.
Donc, j'ai persévéré.
Et j'ai eu raison. Parce que les planètes ont fini par s'aligner et j'ai lu ce roman d'une seule traite.
Et pourtant... qu'est-ce que j'ai détesté les personnages!
D'abord le « hero » de l'histoire : Bruno, 11 ans, qui s'imagine détective privé comme son père.
Ce sale gosse ment un nombre incalculable de fois à la police et à ses parents, dissimule des preuves, au prétexte qu'il doit faire "triompher la vérité".
Tout ceci n'est qu'un immense jeu pour lui, alors qu'une femme est morte.
À plusieurs reprises je me suis demandé ce qu'attendaient ses parents pour lui secouer les puces et le punir une bonne fois pour toute histoire de lui remettre les idées en place.
Du coup, je n'ai pas beaucoup plus apprécié les parents. Entre le père qui encourage le comportement de son fils et la mère, prête à laisser un innocent en prison du moment que son quotidien retrouve sa normalité, il n'y en a pas un pour rattraper l'autre.
En revanche, j'ai beaucoup aimé la flic, donc je comprends l'exaspération face à ce gamin mais qui essaie toujours de prendre la peine de l'écouter, même quand il dépasse les bornes.
La fin m'a surprise. J'ai apprécié les diverses fausses pistes, les rebondissements, et le fait que personne ne soit totalement blanc dans cette histoire.
Malgré mon antipathie pour les personnages principaux, j'ai beaucoup aimé suivre cette enquête.
